31 juillet 2008

Troisième Transat en Ville à Rennes (30 juillet 08)

Et on ne se quittera pas autrement que sur le beau sourire -et leur autorisation- de mes nouveaux amis des Transat 2008, mes jeunes voisins. Et n'oublions pas procahin RDV ce soir, 31 juillet, 20 h 30 à Cleunay : c'est un quartier rennais où "Ma grand mère se balade"
Aux Transat, thème transat oblige mais thème bouteille vient. Après celle de LAVALLEE celle de TOUFO
Celle-là aussi. L'an prochain elles seront meilleures promis : stage appareil-photo suivi
Auto satisfaction : je l'aime bien celle-ci, s'il avait fallu une preuve.... dixit
En matière de Transat c'est jusqu'à la proue des toits qu'ils sont écoutés
Ils sont deux, ou encore, il n'est pas tout seul et il le montre Désolée pour le flou mais j'aime l'énergie
Co et Quipier
Délirant les mots mer Sacré moment, que ce moment de rap ! Inoubliable gestuelle ! Je préfère ne pas mettre d'autres photos pour inviter à les voir ou revoir. Leur nom vrai TOUFO
Il a dit : "attention instant bébé" Les enfants savent obéir : preuve en est dans l'instant.
Il a même écouté en se bouchant les oreilles comme demandé mais j'ai manqué la photo ! Aux Transat on se fait des amis : du coup on ne part plus en vacances : magique les Transat
Même pas peur ? Z'avez pas tort, je vous l'avais promis
Promis les gars, ça le fera, on n'est pas à Nantes ici (!!!! ???? mais tout le monde rit nantais compris : pendant les vacances tout le monde circule)
Je reconnais tout de suite un ami de longue date. Et oui, un peu osé les TOUFO mais du genre attachants, ils peuvent tout se permettre, ça démarre bien.

29 juillet 2008

ça se passe à la CNAF

L'enfant est un enfant de bande dessinée, adorable à croquer. Je lui souris : il me sourit en levant très haut le nez ; je suis grande. Je me surprends toujours à le remarquer dans cette situation. Puis, il déambule : on le comprend, attendre devant le guichet de caisses n'est pas très folichon. D'autant plus que la promenade est pleine d'intérêt car l'équipe commerciale a pensé à lui, à son oeil curieux et ses petites mains fouineuses : et bien pensé. Comme il est très intelligent vu la pétillance de ses yeux, il choisit bien d'instinct : 1000 questions de calcul mental.
Mais..... Papounet n'est pas d'accord. Dans le regard du pitchou, une grande déception. Cependant, remarquable, notre petit héros ne trépigne pas. Notre deux ans est déjà un convaincu de sagesse : c'est bien connu, la valeur n'attend pas le nombre des années.

Ya pas que Lodile sur la terre, y aaaa laaaa Suiiiiisse, la preuve par le Gers

Bonne et jolie découverte. J'aime bien la propriétaire de ce blog. Ceci n'engage que Moa et MaÎme. Belle journée à tous et toutes. "Y a du soleil sur la France.... comme disait ....

28 juillet 2008

Après le Quercy, petite balade dans les Pyrénées

Suffit juste de cliquer sur le titre du billet, qui sera suffisamment cour pour vous inviter à la lecture de contes de là-bas

De la part d'une copine à Lodile

Je me suis surprise récemment à dire "Qu'elle est belle ma place de la Mairie à Rennes". Ce possessif s'est imposé avec tranquillité tu vois Lodile. Il n'empêche que je garderai toujours un souvenir affectueux pour ma vieille place aux Cornières de Lauzerte. En ce temps-là et en son centre, elle hébergeait une haute halle -j'étais enfant- sous laquelle se déroulait, entre autre, le marché et aussi le bal du mois d'août au cours de la Fête dite de la Ville, donnée à l'occasion de la célébration de la Saint Barthélémy.
Et la foire aux bestiaux et celle aux chiens comprise.
Mes parents avaient un couple voisin et forain -Monsieur et Madame Dausse que j'aimais beaucoup- Avec quelques autres, dans leur petite salle de vie, je, comment dire, m'exercais parfois d'un savant glissé-pouce-index-main droite, à ouvrir des sachets de célophane bien luisants et argentés et même chantants, pour y introduire des cacahouètes, des bonbons divers ou des chouchoux -à manger ces derniers et non pas à mettre dans les cheveux-
Il me revient aussi que sous la halle on collait, sur de belles longueurs de fil, des triangles de couleurs destinés à être suspendus d'une maison à l'autre pour égayer les rues à la même occasion : des guirlandes. Et que c'est aussi à l'occasion de cette fête que cerises ou pruneaux à l'eau de vie goûté(e)s, j'adore encore. Bien sûr je rêve toujours du double petit pain chaud et sucré de Camille Larroque. Et à ce propos il me semble que je ne tarderai pas à évoquer les macarons de Pierrot Bonnet dont le magasin faisant face à la Barbacane avec de bons yeux faisait presque face à Molière -il me plaisait de croire que ce petit village était le lieu de naissance du célèbre auteur- Et aussi, sa fameuse et fine croustade d'or livrée de nuit dans la maison de mes parents et les over-doses de ses choux à la chantilly commises par mon père qui en raffolait : le dernier score de celui-ci ? Faudra que je l'interroge la prochaine fois que je le joindrai. Nous avons beau être voisin il n'a guère plaisir à me fréquenter. Dommage. Mais de quoi fantasmer et d'autant plus sur une prochaine fournée de contes sucrés dont il serait le héros. Lui qui a pris cette si tendre photo jointe, qu'elle me permet de devenir de jour en jour spécialiste de la paresse ma plus souple et plus heureuse des légitimités. Je suis née de la paresse, de la flânerie, du vagabondage, de la rêverie, et c'est à Lauzerte que j'y ai pris goût : à travers ses petits chemins ombrés qui nous menaient à La Vigne, à Vignals, en passant par le pont de Paillasse, en-dessous de Beaucaire, ou encore au Moulin de Tauran. Comment ne pas être gagné par la paresse à la seule vue, dans ses rues, de ses étroites zones d'ombre coupées au cutter par un soleil torride. Des siestes obligatoires derrière les volets à persiennes j'ai gardé ce goût pour l'identification de tous les sons qui nous parvenaient. J'ai d'ailleurs aujourd'hui à l'oreille -mais il ne faut pas le répéter- ces portes qui s'ouvraient aussi silencieusement que possible mais pas suffisamment cependant et le bruit particulier du glougloutis d'un arrosage interdit... pour cause de sécheresse. C'était quand déjà : deux, deux mille.... Chut, je n'en dirai pas plus. Bel été à tous sur les chemins de Compostelle surtout si vous vous arrêtiez à Lauzerte et que vous y laissiez résonner rue de la Gendarmerie le cri de votre bâton : je l'entend de Rennes où je vis : il "monte". Je l'écoute à l'instant où il silence parce que subitement vous vous arrêtez et que vous commentez la fenêtre à ogive de Lulu -c'est ainsi que ma mère disait- ou celle de Dosse, le scieur de bois ou que vous envisagez la possible rudesse hivernale de ce petit pays. Dans l'obscurité de la vieille cuisine seulement traversée par un puissant rai de soleil, j'éc oute votre bâton reprendre sa route et quitter l'actuel Lauzerte, qui à force de ressembler au Lauzerte des temps d'antan, ne ressemble plus au mien. Mais peut-être que je ne fais que rêver ?

Loizo Loizo lis-moi ça un peu

et de me confier un journal dans les mains, Lodile, et de me conseiller d'en
lire les rubriques, les articles, les commentaires
"toi," me dit-elle "qui vit tout au long de l'année sur ta terrasse décontractée aux célèbres bleus Majorelle"
D'accord, je te le prends ton journal mais de le lire, rien n'est moins sûr. En tout cas immédiatement.
D'abord prendre mon petit déjeuner. Des "chevilles" de gazelle tiens, ce sera parfait ; ensuite l'accompagner d'un bon verre de jus d'orange bourré à la vitamine et ensuite m'installer sur mon hamac. Ce sera parfait et là, je le lirai. ton journal.
Satisfaite de ma décision, elle saisit elle aussi une "cheville" de gazelle et s'en blanchit les lèvres goulûment.
Quant à moi, j'admire mon olivier argenté : il étincelle sur le bleu de mon ciel.

27 juillet 2008

On les déplie puis on les replie ... 26 juillet 2008 deuxième Transat en Ville Fin

C'était qui déjà ? Ah oui, le Jakez Orchestra. On n'oublie pas que parfois ils sont sous ces lumières là
Courtoisie plus que esprit civique oblige, les transats on les plie et on les rend et on pense aux deux jeunes filles qui les rangent !
On observe comment s'éloignent les spectateurs : en groupe ou solitaires ?
Ces deux-là se rencontreront-ils grâce aux Transats ? On peut rêver.
Restent les pavés.

26 juillet 2008 Le Jakez Orchestra aux Transat en Ville à Rennes

Au revoir le Jakez Orchestra, Beaux textes et et musiciens excellents. Bon choix !
Moi Lodile, je me demandais quand on allait les éclairer. Quan on n'est pas Nicolas Julien on n'est pas Nicolas Julien. C'est peut-être là qu'on se moque du public ! L'ensemble manquait du panache de la semaine passée. Des photographes dans tous les sens, des spots, du matos en veux-tu en voilà, des vigiles immédiatement efficaces. -incroyable, elle ne peut pas s'empêcher de l'écrire ce qu'elle pense Lodile ! Loizo tu devrais lui apprendre à se taire !- C'est parce que je trouve qu'ils le mérit... mais tais-toi Lodile, tais-toi !
Plus difficile de photographier des musiciens que des conteurs.
Je plaide coupable, mais celle-ci me rappelle certaine peinture
Qu'est-ce qu'elle est belle, et fine et délicate, ses mouvements subtils et imperceptibles attirent d'emblée l'attention du regard
Attention Lodile, elle va arrêter son geste !
J'avais appréhendé cette double parallèle superposée : archet sur bras : satisfaite de son anticipation Lodile
... comme je dis, ça ne regarde que moi, mais sa voix m'a ramenée à celle de Patrick Abrial
C'est vrai, ils sont beaux tous les deux ! que dis-je, tous les quatre !
Encore une histoire de pinceaux ou de rêve et un visage surprenant dont je ne me souviens pas. Etrange ! Mais intéressant. Quatre musiciens qui bougent et font bouger ou tout au moins battre des mains. Jolie soirée mais la prochaine fois je paierai pour aller les écouter et les découvrir sous les sunlights qu'ils méritent.

Les Transat ça se gagne et ça se vit, parfois comme ce 26 juillet 2008

Mais seulement après avoir bougé les doigts de sa main de plâtre ou admiré... les derniers soldes de la jolie copine de la voisine invisible.
ou s'y être rendu en patinette...
ou y avoir exhibé sa dernière coif-coupe-coloration
Ou lu son journal

26 juillet 2008

Les Mille et une façons de s'entendre avec son transat.

Tant qu'à lire ce billet, commencer par son début, c'est à dire la fin. Filez y direct puis remontez photo après photo. Pour la conclusion, c'est vrai qu'il vaut mieux demander, c'est en effet plus convivial (et merci pour la pose Monsieur du 22 et belles vacances en compagnie de Madame)
C'est tout bon fin prêt... mais au fait, y a qui au programme ?
Eurêka ! J'ai trouvé !
Tu as raison, vaut mieux être à deux
C'est décidé je l'ouvre mais j'ai bien l'impression que ça se complique !
Comment m'y prendre : l'ouvrir ou chercher l'endroit ?
Envieux faisant la queue dans la file pour obtenir le droit de se pincer les doigts !
(merci pour la pose)
Cesse de rebondir, sale bête ! Non mais je rêve, vais-je réussir à m'asseoir !
86 essais plus tard.... je sens que je vais m'énerver ! Je vais passer pour un débile ! " Oh doux Jésus, quand j'y pense, ça fait peur, non ?" "Chacun pense c'qui veut mon amour !" "T'as eu raison de m'inviter Mélanie, rien que pour les Transats à ouvrir ça vaut le détour !
Trop fend'art. Je vais finir par éclater de rire !
Imaginez un peu avec le son ! et kling et klang ! et klong..
Klondi klon dyke ! Désolée mais le Québec c'était la semaine dernière
L'an prochain faudra demander à KAEI d'en offrir les plans !
Style "au-dessus de la foule"
Chacun son style : il y eut le sous le menton, il y a la façon biaisée !
Voilà une place bien méritée ! A mon tour !
Tu peux y aller ma chérie ! (Transat galant)
Tu crois que je finirai par y arriver ? (Transat inquiet)
T'es sûre ? (Doute en Transat)
ça s'en va et ça revient, c'est fait de tout petits riens.... ou... le grand chambardement.... (Transat références)
" Chéri... te coince pas les doigts, j'ai pas prévu le Saint Hall !" (Transat conseilleur)
"Transat Commando"
"Merci, j'en fais quoi maintenant ?" (Transat perplexe)
A la chaîne anglaise ti la la la la la la lère..... J'veux pas voir, va s'coincer les doigts ! (Transat solidaire)
Super, j'ai repéré un endroit ! Trois d'un coup, c'est lourd tout de même !
On les installe où à ton avis ? Là ou là ?
hum hum ça se prend dans quel sens un transat ?
la valse des transats, ça commence avec celui-ci. Mais au fait où est-il, je l'avais photographié !
En effet, pas si mal d'arriver en avance. Les sourires s'imposent. (Ma première Fan)
Ma première autre Fan
Arriver à cette heure là, permet de trouver déjà des transats en place. Car le transat, à l'ouvrir... c'est tout un art. Un transat ça ne se gagne pas, ça se "mascagne comme on dit dans le sud-ouest" Ci au-dessus, témoignages nombreux.
D'abord et avant tout s'imprégner du fait que ce soit l'été : un repère : les moustiques ! Ils sont présents.