11 mars 2010

Dilili dililililingue ding dong

ça y est, elle bougonne ! Et elle me parle ! Ainsi j'apprends qu'elle est allée au théâtre. Et bien sûr, je reçois quelques commentaires du style bougonnant : "Mais pourquoi devant moi" dit-elle. Je la questionne "quoi donc" "Une explication confondante : tu vois, j'arrive à l'instant où il s'agit de faire entrer en scène les acteurs : "je lance ?" dit l'un "où j'attends encore ?" dit le même". Et un autre d'expliquer dans l'effervescence "y a quelqu'un qui a réservé mais il ne trouve pas à se garer !!!" Je me demande si j'interprête bien et surtout pourquoi j'entends cette réflexion ? Pourquoi ça se passe devant moi, pour une fois que je m'offre ce luxe ? Et en plus avec le sujet de la pièce ! "Tiens, au fait, lequel ?" Elle évite de me dire, "contente toi de savoir dit-elle, qu'entre autre, elle dit que tout le monde n'est pas au même niveau, que cela fait des lustres que tous les gens ne sont pas au même niveau et que cela durera sûrement encore des lustres, pas partout, seulement dans un certain pays, enfin tu fais ce que tu veux avec l'interprétation Loiso. Tiens ça m'agace, et d'autant plus qu'on m'avait dit qu'il n'y avait plus de place : chanceuse, j'ai eu un strapontin, in extremis. Tiens, j'en rajoute, je préfère colporter Moi Loizo, je ne vois guère ce à quoi elle fait allusion, de toute façon Lodile, elle me dépasse. (Au fait, ce personnage n'est inspiré d'aucune autre Odile, qu'on se le dise) Comment ça ça mérite un p'tit verre ? ô seigneur, moi Loizo, moi votre hôte, j'ai oublié. Je remédie : sur votre droite, sous la feuille de bardane, sur le plateau de cuivre, au choix : boisson à l'hibiscus ou thé à la menthe. Bon verre. (Curieux, YaKaKliKer sur le titre du billet)

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