31 mars 2009

Une association culturelle "Regards" ou

comment le hasard m'a fait retrouver quelqu'un de plus âgé que je regardais avec une amitié gourmande, du temps de mon enfance : Bernard Dausse. Si je ne me trompe pas, il habita tout près de chez moi puis à trois pas de ces cornières à quasiment un seul pas du comptoir de Camille, le boulanger lauzertin au double petit pain délicieux, si chaud et si sucré que pour l'avoir, une petite Marie compta si peu ses propres pas, qu'elle se retrouva à deux pas de la Forêt de Brocéliande. C'est avec tendresse que je pense à lui aujourd'hui ainsi qu'à sa soeur Michèle déjà audacieuse car elle colorait ses ongles d'un bleu outremer qui me faisait rêver. Et d'ailleurs, clin d'oeil aidant, elle m'en mettait ; à sa courageuse soeur aînée et à tous ses autres, père et mère compris, pour lesquels parfois j'essayais, maladroitement, de désolidariser deux feuilles de papier cristal -j'entends encore ce jour le petit bruit crispé- pour mettre en sachet, bonbons ou cacahuètes ; et vendais des glaces et des bâtons Miko pour les fêtes d'été des villages à l'entour : St Pantaléon et Montaigu de Quercy, Cazes Mondenard et l'inoubliable, car fameux, Sentimental Trumpet capable de faire danser jusqu'au plus rhumatisant des plus anciens du village, viellissant dignement dans sa vieille maison. Car accompagné par tous. En ce temps-là, deux trois jours durant de fiesta. Pas de nostalgie, seulement de bons souvenirs. Comme celui de retrouver Bernard aujourd'hui.

30 mars 2009

Vous avez entre 18 et 30 ans et l'âme d'un géo-reporter, ...

ce lien à cliquer est pour vous. Cliquez vite, la sélection est pour bientôt

Gemeaudestes, le blogspot.com à faire tourner SVP

Vos amis sont gémeaux, comme Platini, ou comme l'authentique Françoise Sagan ou comme Blaise Pascal supers, les copains fêtez-leur leur anniversaire à partir de ce blog (IAKAKLIKER sur le titre du billet) et que vous le soyez ou pas, ils vous le rendront : en sourires, photos, mots, rimes, chansons, refrains, pensées, dessins... enfin c'est sans fin.... puisque l'imagination et vous c'est tout vous ! Et en plus, je viens de le découvrir, les gémeaux ont leur village IAKAKOPIEZCOLLEZ http://www.gemeaux.free.fr/ Fabuleux de fabulous it's wonderful!!!! Allez, un autre lien pour se reconnaître et en rire : http://www.artezia.net/astrologie/gemeaux.htm et un deuxième (nous ne sommes pas seuls) http://www.monsiteamoua.com/service-info/gemeaux.php Belle soirée de la part de Loizo

Rienkakliker sur ce titre

Pour Picasso et le Prince Charmant et de ce dernier, on pourrait en discuter. ttp://www.blogitexpress.com/

29 mars 2009

Vous êtes de ces revenus modestes : lisez

IAKAKLIKER sur le titre du billet

Dilindingdingndingue et dingue ding ding ding houlà fort le gong

très fort mais pour une fois pas suffisamment fort, déclare Lodile elle-même. Loizo dit-elle tu ferais bien de prendre un ordi, de t'offrir un abonnement sur le net et de découvrir de quoi la vie est actuellement faite. Sur ton palmier tu crois être déjà haut : je te le dis : pas suffisamment: pour prendre du recul aujourd'hui il faut aller de plus en plus haut. Si tu savais ce que contient ce lien que je t'aurais donné si tu avais eu un ordi, et surtout un abonnement sur le net..... Moi Loizo, je me tais. Je sais où je suis. Je ne veux plus me mettre KO. J'observe ce qu'on me rapporte ou vois derrière le mur ocre....Et je me dis que vous qui lisez vous avez peut-être un abonnement sur le net, un écran sous les yeux une entrée sur terrasseentchat : alors, faites-le, cliquez sur le titre com'd'ab YAKAKLIKER. On dirait que Lodile lit dans mes pensées. Voilà qu'elle s'engage une nouvelle fois : ça ne suffit pas de regarder, il faut demander que le Printemps de Bourge ne l'accueille pas ou bien qu'il présente ses excuses devant tout le monde et surtout, surtout les femmes et les filles. Je suis tout déplumé tout à coup. Alors je vous dis : faites comme vous voulez.

28 mars 2009

Vendredi soir, normalement c'est calme dans ma ville

puisque la fiesta et les beuveries des étudiants -auxquelles je n'adhèren pas- se tiennent traditionnellement le jeudi soir. Pas si sûr. Après avoir assisté à une super répétition du "Château des Carpathes" inspiré de l'ouvrage de mon ami Jules Vernes ; après une p'tite galette, suivie d'une p'tite crêpe délicieuse soulignée de caramel au beurre salé, very fashion dans toute bonne crêperie du cru en ce moment, nous voilà remontant la rue, traversant la place et remarquant, hébétées, un attroupement un peu désordonné. Il n'est pas encore 22 h. Soudain le groupe s'éclipse, seul un dernier personnage s'attarde. Il donne à la tête de celui qui est au sol et recroquevillé sur lui-même quelques francs coups de pieds : au moins deux bien sonnés. Je l'interpelle. Des jeunes me demandent de ne pas intervenir : "Faites attention madame, il a un couteau !". Maintenant il ne reste plus sur le trottoir, que le corps du jeune homme maltraité et sérieusement à l'envers. Je suis sidérée. Je n'achète plus le journal du cru, encore moins son spécial week end, car il y a sur chacun et trop souvent un inventaire des faits divers les plus noirs et les plus sordides. Une accumulation nauséeuse et sordide. Une comptabilité dont je préfère me passer. Elle n'invite pas à relever la tête face à la crise. A l'instant, je n'arrive qu'à me déplacer auprès d'un taxi dont le chauffeur tapote sur son portable. Il n'a rien vu car il vient d'arriver mais il s'inquiète. Tous les deux nous voyons soudain le jeune gars se relever et s'asseoir le visage entre les mains. Je me rapproche : il a la tête en sang. Quand je lui conseille d'aller voir un médecin parce qu'il a été frappé au visage par deux fois au minimum et à coups de pied, il s'étonne, il ne se souvient de rien. Je les quitte, l'atmosphère est alcoolisée. Je suis bouleversée. Je regrette de ne pas connaître le karaté. Demie-heure plus tard, je prends l'autobus. Un groupe de jeunes gens montent un ou deux arrêts plus tard. Dont une jeune fille de 16-17 ans poignets décorés de bracelets cloutés, godillots de beau cuir ceinturés de chaînes d'acier et dans la bouche un langage des moins châtiés. Commentaire de la personne qui m'accompagne "Vu la crise tout ça va s'accentuer". Et d'ajouter avec humour "A partir de ce soir j'interdis à mon fils de sortir jusqu'à l'âge de trente ans" Et moi de penser : "elle a bon dos la crise. Elle a bon dos Pour la démission de tous"Espérons que non Loizo. Tu te tais Loizo ? Je me tais Lodile, je me tais. Secoué, Loizo ce soir, ne pense même pas à m'offrir un thé à la menthe. Je cours dans ma cuisine m'en offrir un, pour reprendre mon calme. Allez, chut... et bonne nuit malgré tout. Quoique. Le voisin tape avec son marteau : il est 0 h 35 Des plaintes et gémissements se font entendre ; des hurlements aussi. Ce n'est pas que je ne veuille pas aller porter secours. Mais je ne suis qu'une femme, seule de surcroît et je trouve tout cela trop dur pour moi. Il est 1 h 21. Dodo... avec les boules quiés.

23 mars 2009

Une nouvelle revue sur la mer : pour la feuilleter : YAKAKLIKER sur le titre du billet

à laquelle collaborent, mon ami photographe Franck Hamel et son amie Elena Belle découverte et abonnez-vous si vous le voulez bien. Merci

20 mars 2009

Cigarette... encore ! petite remarque

"Mais il y a un moment que je voulais en parler" me dit Odile. On fait des lois on fait des lois on fait des lois on fait des lois. Mais moi je ne fumais pas, je n'ai jamais fumé. Avant quand les gens fumaient chez moi, quand je les invitais, je leur demandais gentiment de ne pas fumer, ou d'aller dehors et ils obéissaient. J'étais contente et je crois qu'ils étaient contents de me faire plasir. Que se passe-t-il aujourd'hui ? Mes amis se passent de plus en plus de fumer. Plus de problème. Sauf du côté de chez mes voisins. Du dessus comme du dessous. Et ça, c'est une plaie. Leur fumée de cigarette remonte dans mon appartement : alors je fume à 22 h 03 -c'est du direct- et pourtant je ne suis pas du côté de leur balcon. Imaginez quand je lis tranquillement dans ma chambre et que ces odeurs envahissent mon délicat environnement -si c'était une bonne odeur de bon tabac- Tous les jours quand je les croise j'ai envie de leur en parler. Mais après tout ils fument chez eux. Quoique, ils fument aussi chez moi, chez eux, chez moi.... Enfin bref, quand on éradique un problème, il y en a toujours un autre qui se tient prêt à être soulevé, n'est-ce pas Loizo ? Heuh !!! Vous connaissez ma prudence légendaire : je n'aime pas prendre les gens aux mots. Je me lance "Voudrais-tu un thé à la menthe Odile ou de bonnes fraises de Rabat ?" Elle rit. Allez va, oui Loizo trinquons.

Jolie chose jolie chose besoin de jolie chose, vlà rev'là Lodile

Dilin diling ding ding faut que je vous dise ce qu'avec les prémices printanières Mon Odile -qui vient de repartir- concote pour moi : des promenades dans Lenet. Il paraît que c'est un nouveau pays où l'on peut faire plein de rencontres et connaissances. Elle en parle avec tant d'enthousiasme que d'un coup d'aile ce matin je m'y suis mis. D'un coup d'aile c'est le cas de le dire. Cliquez sur le titre et je pense que vous courrez seulement le risque de vous envoler. Envolez-vous, si je puis me permettre une suggestion. Ose cliquer. Le thé à la menthe ? Ah non, c'est pour votre retour. A bientôt. Loizo

16 mars 2009

Tiens diling diling ding dong, voilà revlà Lodile

et mo Loizo je suis subjugué par l'idée qu'elle m'amène. Un mur de plantes à mettre en oeuvre. J'y vole. Et vous ? Cliquez sur le titre du billet si vous voulez en savoir davantage. Si vous voulez vous désaltérez c'est toujours au frais, sous la grande feuille de bardane, oui, jus de grenadine ou de mangue, cachaça ou cubalibre et ma foi, thé à la menthe, je viens justement de déposer les chevilles de gazelle !!! A bientôt

14 mars 2009

Preaumenade : I'm singing in the rain

J'aime les chats et Jeanne Cheral jazzant-chantant sa chanson jaune

Tashkent Tashkent et davantage....

YAKAKLIKER sur le titre du billet pour découvrir les tribulations de deux musiciens dont une harpiste fée de brocéliande et un repas des plus visibles. Pour preuve, la photo qui suit. Elle a été subtilisée de haut vol par Loizo sur le site http://mandragora.canalblog.com qu'il remercie. Elle peut être retirée si le kidnapping ne pouvait pas, ne devait pas se faire. Suffirait d'en avertir le webmestre. Néanmoins, belle visite : elle est parfois musicale : extraits. Amoureux des instruments de musique et de la voix, commentez : ça fait toujours plaisir à l'écho-ter. Sourire. http://mandragora.canalblog.com/

10 mars 2009

Quand on questionne le public absent

J'ai trouvé cette problématique intéressante, on dirait un titre de théâtre, c'est une enquête, une véritable enquête à propos d'une étude des publics par un institut. Une étude qui part d’une typologie simplifiée des publics qui fréquentent ou non Telendroa à partir de trois représentations du public : le public inventé – le public constaté – le public absent. Etude réalisée par questionnaire entretiens de septembre 200x à janvier 200x. Résultat et publication, mars 200x. Comment questionne-t-on un public absent ? Mais ne dit-on pas : poser la question c'est déjà répondre ?

09 mars 2009

Ou l'on parle de musique et de Vahila et d'imprégnation

Du côté d'Antananarivo.... et où l'on en reparle Et pourquoi ? Parce que dans un tout petit lieu, qui déborde d'objets océaniens, pacifiques ou indiens, une sorte de caverne d'Ali Baba où l'on est toujours accueilli avec sourire et courtoisie et intérêt, dans une ruelle au nom remarquable, la rue Bonne Nouvelle, parce que dans ce lieu où j'ai découvert une dent de requin, on m'a donné, avec le sourire, un conseil extraordinaire : m'y rendre, pour conter. Je n'irai certainement jamais mais je regarde, observe et découvre cette région depuis quelques années déjà, coude appuyé sur mes atlas et mes mappemondes, eux-mêmes posés sur mes piles de livres et de CD. Ce qui m'enivre le plus à y découvrir, ce sont les sourires des habitants de cette île qu'on dit si pauvre. Plein de sourires à vous aujourd'hui, les mienS et les leurs. Com d'hab, cliquer sur le titre du billet et pour en voir davantage copier-coller le http qui suit http://photos.linternaute.com/paysville/43921/1080084/1360721184/riziere-malgache/ PS - j'aurais pu prendre d'autres situations de sourire : j'ai choisi celle-ci pour son côté ying et yang et parce que le sujet du fer, du travail du fer, des ferrailleurs, ferailleuses, et forgerons, forgeronnes -j'ai vu de ces dernières à Paimpont en Bretagne- me tient toujours à coeur.

06 mars 2009

Le Cahier, quel film étonnant

émouvant, tendre, subtil et la petite fille Bachti et le petit garçon Abbas. "C'est un film sur les jeux d'enfants" !!!!! ai-je entendu dire. On peut dire ça. On peut le dire. C'est aussi peut-être, peut-être, un film qui dénonce. Quoi, qui ? Il se passe en Afghanistan. Il n'y a pas que des enfants. Il y a aussi des adultes. Et quand on sait combien, pour un enfant, un parent est un exemple, un modèle, combien il peut avoir du mal à se libérer de certains modes de pensées auquel on l'a accoutumé, -je vais me faire tailler un costume- on trouve cette enfant terriblement courageuse. A nouveau je me suis surprise à écouter la densité du silence dans la salle. Profonde, très profonde. Et à me faire surprendre comme l'ensemble du public par des images fortes : un enfant qu'on attache, deux coquilles qui se cassent, le mot "lapider". Jeux d'enfants ! Je veux bien.

03 mars 2009

500 € 500 secondes

Je n'ai pas le droit de réfléchir et ils sont en une seule coupure. Je suppose que je suis devant mon distri-banque : je me félicite pour cet instant inattendu et fais un don : j'offre la coupure à la première venue ou au premier venu et je n'attends pas après son merci, parce que 500 secondes, c'est court : je ne suis déjà plus. A vous maintenant d'imaginer le pire ou le meilleur, le plus amusant ou le plus désatreux...

01 mars 2009

Les gens du lent de Landujan - Soirée musique slam et tricotage

Bonjour, Vendredi 6 mars 2009, Landujan, 20h30, salle des fêtes soirée Slam et tricot... en musique ! avec la participation de Lina Bellar, harpe, Marie Chiff'mine (l'heureuse en herbe dixit la photo), voix, + élèves de l'école de musique et scène ouverte Soirée atypique pour un partenariat avec une association atypique (Les gens du lent) et une conteuse-slameuse non moins atypique. Confortablement installés autour de tables, les participants à cette soirée assisteront à des moments de concert et à des prises de parole dans la salle, à partir de textes personnels ou de textes du répertoire. Tout au long de la soirée, chacun pourra s'initier au tricot, devenu cette année l'activité emblématique de la capitale de la lenteur.(Landujan, dans l'Ille et Vilaine) entrée libre dans la limite des places disponibles Organisé par l'école de musique du Pays de Brocéliande en partenariat avec l'association Les Gens du Lent contact@empb.fr / 02 99 06 60 54 / 1 rue du dr Druais, Montauban de Bretagne http://www.myspace.com/printempspoetesmusique PS : on peut décider de s'associer aux activités TRICOTAGE de l'association : challenge : une IMMENSE couverture faite de petits carrés (!) de 35 cm sur 35 cm : tous à vos aiguilles et envois à l'adresse indiquée. Qu'on se le dise, qu'on se le dise, le répète et participe.