30 décembre 2009

Who are you ? said the Caterpillar

The Ultimate Question 'Who are YOU?' said the Caterpillar. This was not an encouraging opening for a conversation. Alice replied, rather shyly, 'I--I hardly know, sir, just at present--at least I know who I WAS when I got up this morning, but I think I must have been changed several times since then.' What do you mean by that?' said the Caterpillar sternly. 'Explain yourself!' 'I can't explain MYSELF, I'm afraid, sir' said Alice, 'because I'm not myself, you see.' 'I don't see,' said the Caterpillar. 'I'm afraid I can't put it more clearly,' Alice replied very politely, 'for I can't understand it myself to begin with; and being so many different sizes in a day is very confusing.' 'It isn't,' said the Caterpillar. 'Well, perhaps you haven't found it so yet,' said Alice; 'but when you have to turn into a chrysalis--you will some day, you know--and then after that into a butterfly, I should think you'll feel it a little queer, won't you?' 'Not a bit,' said the Caterpillar. 'Well, perhaps your feelings may be different,' said Alice; 'all I know is, it would feel very queer to ME.' 'You!' said the Caterpillar contemptuously. 'Who are YOU?'

19 décembre 2009

Pour enfants bretons et autres, CD de Noël 11 € le conte musical

Pour découvrir tout un univers conté simplissime : YAKAKLIKER, sur le titre du billet ou sur le lien qui suit https://docs.google.com/Doc?docid=0AfmV4tszprkNZGdkazl0MzZfMTA4Z3h3czh3ZHY&hl=en&pli=1 ou sur la vidéo du lien Si j'ai bien suivi, une aventure entre inspirés de la celterie.

17 décembre 2009

Calendrier de l'Avent en photo... pour vous qui passez sans me voir

On dirait on dirait !!! On n'dirait rien du tout. Y a pas photo, celle de gauche est la plus belle ! Doudou a moué....

11 décembre 2009

Besoin de cartouches d'encre ?

Plus que l'embarras du choix sur le net chez http://www.nopan-ink.com/ YA+KAVISITER, d'un clic sur le titre du billet

Bla bla bus

Récemment entendu : deux jeunes gens échangent, 21, 22 ans L'un dit "C'est vrai ça, entre une fille qui m'apprend tout sur le maquillage et un copain qui m'aide à performer ma musique je n'hésite pas. Je choisis le copain".

Didgeridoo français... n'y avais jamais pensé. Y A KA....

KLIKER pour écouter quelques extraits tirés de nos bois peut-être exotiques aussi, ma foi.

08 décembre 2009

Anti-feu dans son appart, agacée Lodile, très agacée

Agacée Lodile, elle est agacée. ... Et on le saurait à moins. Son organisme HLM (Parchibat Peltibah) désirant prévenir les incendies, -et elle approuve- un système a été installé dans son appartement. C'est bien, et c'est peut-être pas. Comme dans le fameux conte russe. Car tout compte fait son appartement n'est pas un appartement, il est une grande salle commune avec deux chambres à l'écart. Alors, à peine a-t-elle le temps de faire cuire trois galettes ou crêpes à la poêle que l'alarme se déclenche. Mais d'incendie, que nenni, et de sonnerie, au moins trois minutes si pas cinq, à vous crever les tympans. Alors elle en a marre. Alors elle me le dit. "Tu vois Loizo, j'en ai marre", dit-elle au cher hôte de Laterrasseentchat, "quinze jours que le système est installé, et cela fait déjà la quatrième alarme déclenchée. Dieu merci, une chance qu'elle ne soit pas branchée sur le standard de la caserne des pompiers. Ils finiraient par m'en vouloir. Mais trop c'est trop", me dit-elle. "Tu vois Loizo aujourd'hui c'est au bout de 15 mn de cuisson de rôti au four. Désormais je ne mangerai que des substituts liquides". "ça tombe bien" lui dis-je "j'ai préparé de la verveine, en veux-tu un verre !" Gentille Lodile. Verre en main comme je le lui ai conseillé, elle mentalise, allongée dans le hamac vénézuélien. Je me la Kisskool, je me la KissKool, je me la KissKool ¨Pour connaître Parchibat Peltibah simplissime : YAKAKLIKER, sur le titre du billet

07 décembre 2009

Beaucoup de choses à lire, à voir, à goûter avec Camille64

d'un clic sur le titre. Oui, YAKAKLIKER ! Et juste après, prendre un p'tit thé à la menthe sur le plateau de cuivre, derrière la feuille de bardane, non loin du bassin, sous le palmier de votre hôte, moa-maime, Loizo. A vous recroiser.

05 décembre 2009

Rigolote Lodile; dililing ding dong la vlà qui revient

Oui Loizo, bonjour Comment vas-tu ? Pas le temps de donner mon avis, elle ne me donne pas la parole et poursuit. "Sais-tu c'ki m'est arrivé il y a deux soirs ? Nuit noire illuminée de décembre, décorations obligent. 20 h 30. Nous traversons les quais, à pied. Ma voisine tremble. Je crains qu'elle ne tombe. Je la retiens. Dans le mouvement... c'est moi qui me plante. Brutalement. A 45 °. sans avoir rien vu venir. Sans rien comprendre. Mains à plats, paume écrasée. Sur le macadam mouillée. Dans un super beau trou. Et comme on plante les choux, violemment à genou. On n'en fait pas un plat, mais sous le choc, me voilà légèrement groggy et quand je dis légèrement... Le lieu est une plateforme d'autobus. L'un démarre. La conductrice n'a rien vu. Mais nous débordons encore sur la chaussée. Et que j'te klaxonne tout ce que je sais. Et que je te fais la tête. Je parle d'elle. Et ce n'est pas fini. Aujourd'hui même. Un trajet d'autobus se termine. Je demande mon arrêt. Je me lève. Topographie. Une descente. Un feu, un carrefour. L'arrêt. Le feu doit sûrement passer au rouge. Grand coup de frin et je valdingue, m'enroule autour d'un poteau, finis "mes jours", c'est enthousiasmant sur les genoux d'un usager auquel je n'avais même pas souris dans l'abri-bus !C'est un homme chapeauté et charmant. Idée subite, c'est mieux que mort : je ne descendrai pas, je poursuivrai le voyage avec lui et m'accrocherai à lui le hasard n'en a-t-il pas décidé ainsi ? Une valise me heurte la hanche. Exaspérée, je quitte le bus. C'est pas fini, même plutôt kafkaïen. Le trottoir est jonchée de feuilles humides. Je m'étale ! Je prend le parti d'en rire. "Quittons ces lieux inhospitaliers. Rentre chez toi" me dis-je. Le téléphone y sonne sitôt laporte poussée. Je me précipite. Drôlatique : c'est à propos d'un questionnaire de satisfaction pour la TSAR, la compagnie des mêmes bus. Si je ne me trompe pas, ça tombe à plat ! Vais-je me venger ? Je vous laisse deviner. Vive le téléthon.Des cornes de gazelle, avec le thé à la menthe ? Loizo, merci de me gâter ainsi, ça me fait du bien. Faites-vous du bien aussi, piquez dans leplateau de cuivre et buvez à satiété. Photo empruntée au site http://www.larosedetunis.com/patisseries_plateaux.html

02 décembre 2009

On aimerait que la "maladie d'A" n'existe pas : elle existe

Alzheimer. Un mot qui prend de l'ampleur, vu que l'être humain vit de plus en plus longtemps. Quelque chose m'a récemment choquée. Une personne, comme "vous etmoi" disait "Je ne m'arrêterait pas de travailler, moi je n'aurai pas la maladie d'Alzheimer". J'ai pensé à la seule personne que je connaisse et qui est censé l'avoir. Elle aura travaillé toute sa vie, sa vie entière, sa vie durant. Et elle cherche à continuer, et tant mieux. http://www.survivre-alzheimer.com/10aider.htm Le site que je découvre est plutôt intéressant. L'une des pages fait parler les "malades" eux-mêmes. On peut mieux comprendre leur situation. On peut améliorer nos relations avec eux. Pas facile mais à tenter. Car si plus tard, je rencontrais Alzheimer, je préfère que vous sachiez. Pour m'épauler.

30 novembre 2009

Maladie d'Alzheimer : j'ai peur, dit Odile, lis-moi ça Loizo

"Leur étude a porté sur 444 personnes dont 134 ont été atteintes de démence. Les résultats des tests effectués sur le groupe observé ont permis de déterminer que les capacités d’orientation commençaient à décliner, en général, trois ans avant la pose d’un diagnostic définitif. Toujours selon les résultats de l’étude, d’autres difficultés deviennent palpables dans les deux ans qui précèdent le diagnostic. En définitive, la difficulté à se repérer sur une carte ou à effectuer un casse tête pourraient être considéré comme les premiers véritables éléments avant coureur de la maladie. Ces signes apparaîtraient en général entre trois et quatre ans avant l’apparition des premiers troubles de la mémoire" Aïe aïe aïe, il y a combien d'années que je suis incapable d'effectuer un casse-tête !!! et que je suis, sans le savoir alzheimeurienne !!! Au secours, vite Loizo, aide-moi, que dois-je faire ? Je suis très cultivé, moi Loizo, surtout à propos du Gange, la belle déesse. Je lui propose d'aller boire un bon verre de la merveilleuse eau de Ganga la belle. A même la source du fleuve qui porte son nom : le Gange. A même la grotte de la Vache. Je connais un très bon hôtel à Chandernagor. Pour y laisser nos affaires. Dilililililili ling quel joli son a le gong Lodile a filé avec une grande légéreté, rassurée. Quant à nous, je vous propose de trinquer, d'un thé à la menthe. Oui, sous la feuille de bardane.

29 novembre 2009

Amoureux, amoureuses de confitures....

le Léon vous espère. Pour y voir plus clair, YAKAKLIKER,.... sur le titre du billet. Bonnes dégustations. Le thé à la menthe ? Quel téh à la menthe ? Ah ça y est j'y suis.... il n'a pas bougé, toujours au frais sous la grande feuille de bardane, près du joli bassin. Merci pour la visite.

28 novembre 2009

Bien chère dame agée

A côté de laquelle beaucoup seront passés. Pendant la bataille de Smolensk de l'été 1941, la ville est occupée et presque complètement détruite. Des milliers d'habitants sont tués ou emmenés au travail obligatoire en Allemagne. : dans le style "heureusement, sinon il y en a qui ne seraient pas nés !" A toute chose malheur est bon, même la guerre. Il paraît qu'en temps de guerre le taux de suicide baisse, voire à disparaître.

27 novembre 2009

Blog à part, Blog à voir : les SEIZE ANGES

pour un coup de foudre et l'univers d'une amie Pour visiter, simplissime YAKAKLIKER sur le titre du billet !

20 novembre 2009

Ding dililing dong dong Voilà rev'là Lodile

Très peevish Lodile aujourd'hui. La voilà déjà repartie. J'ai juste eu le temps de l'écouter. Elle a, comment dire, un quotidien rugueux, ces temps-ci. Elle court les administrations. Et pourquoi pas les banques. Dans la foulée. Le problème devient épineux. Mais le rigolo c'est qu'elle a préféré devancer la réponse à propos du rendez-vous évoqué par la jeune préposée du 39.49. Elle s'est déplacée en chair et en os. Pour être plus efficace. Le lundi suivant le vendredi -excusez-moi mais c'est souvent ainsi, foi de plumes, le lundi suit souvent le vendredi-. Et qu'a-t-elle appris ? Que c'était bien trop tôt. Qu'il fallait deux trois jours pour prendre connaissance du mail qui devait être envoyé par le 39.49. On vous tiendra au courant ! Abattue Lodile. Et sans coup de fusil. Mais à en perdre son moral. "Lodle, revient, y a un thé à la menthe poivrée dans la maison !" Rien n'y a fait. Partie, démoralisée. Quant à vous, pour la boisson, YAKA... soulever la feuille de bardane. Oui, là, tout près du bassin murmurant.

14 novembre 2009

Qui et où, petites ou grandes poésies, photos comprises

un autre blog plaisant 30 octobre 2009 Norge - Liberté A quoi bon semer des miettes blanches derrière soi comme Petit-Poucet pour retrouver sa route, puisque les oiseaux les mangeront ! Sois plus sage, ô moi-même et apprends à aimer ton incertitude et ta détresse. Marin de la mer nue, marin ivre de la mer périlleuse aux routes sans souvenir, aux dures bises salines. Sois donc sage, puisque des oiseaux avides mangeraient quand même tes miettes blanches. Et maintenant, tu peux bâtir au style de ta fantaisie tes fluides châteaux de carte, poète. Pour y aller, rien de plus facile : klikez, klikez, klikez sur le titre du billet

13 novembre 2009

Dilililililililing DING DONG DONG... Tiens voilà revlà Lodile

Elle n'est pas contente Lodile. Vous l'avez compris aux trois lourdes résonnances du Gong DONG DONG DONG. Elle précise "son "bon courage" sentait la commisération. Remarque, mieux vaut de la commisération que rien. Quoique, enfin pas vraiment. Mais peut-on faire autrement ? Le riogolo Loizo, ajoute-t-elle, le rigolo - il y a toujours du rigolo quelque part- c'est la séance boomerang. Je me suis déplacée de visu, au Pôle Emploi Service. L'employée me répond qu'il faut que je repasse par les ASSEZ D'HICS -Tiens bizarre Loizo je pensais que le multiple ne faisait plus qu'un tout- Je dois faire une drôle de tête car elle me propose de passer par le 39 49. Je me dis "allez pas bête Lodile, modernise-toi, passe par là". Et bien, tu me croiras ou ne me croiras pas la modernité c'est magnifique Loizo. Je n'ai donné ni mon nom, ni mon identifiant, ni mon n° de téléphone. Avec rien d'autre que mon appel la préposée avait déjà tout mon dossier sous les yeux. Pour me dire quoi ? Qu'il fallait que je me rende aux ASSEZD'HICS. Heureusement à travers la communication non verbale qu'à mon silence elle devine, elle "comprend la situation, m'entend, et commente "Je vais demander un RDV pour vous Madame, peut-être qu'ils voudront bien vous le donner ! Au revoir et Bon courage Madame !" T'as pas du nougat Loizo, je me ferais bien une barre de nougat, pour me détendre." Aujourd'hui, jour de la gentillesse, figurez-vous que j'avais du nougat. Alors on s'en est croqué quelques éclats. Bon nougat. Oui, sous la feuille de bardanne. YAPLUKA... vous baisser.

27 octobre 2009

Dililing ding dong dong voilà revlà Lodile

Sombre, le gong résonne lourdement. Lodile est sombre. Elle quitte un ami dont le père est déambulant. Je m'interroge ? Elle aperçoit mes plumes qui froncent. Elle traduit : "Il est âgé et si, il a bien apprécié, il a estimé que son père faisait à peu près, si pas plus, une vingtaine de kilomètres, dans sa maison, heureusement de plein pied ! Et il n'est pas content car quelqu'un, bien intentionné, lui a dit qu'il devait le mettre en maison de retraite !" Prudent moi Loizo, je dis qe chacun doit faire comme il veut. Personne ne doit influencer personne. Lodile me quitte d'un demi-tour nerveux en marmonnant "J'vais lui dire c'que t'as dit Loizo !" Je pense : tout est sujet à réflexion. Et je me perds dans la contemplation du voisinage : une main de femme choisit une rose rose pâle.

25 octobre 2009

Silence et éloquence : rencontre

Bonjour Petits et grands bonheurs en boules, façons chat, lovons-nous, lovez-vous. Simplissime ! Suffit seulement de cliquer sur le titre de ce billet. Klikez. Yakakliker ! Beau dimanche à tous.

21 octobre 2009

Fiches Fichez Fichons... le camp

Nous discutons à l'ombre de grands platanes, assis à une terrasse de bar. "Rien que le dernier terme m'inspire de la crainte" me dit-elle. Je l'écoute. Tout simplement. Elle me paraît un peu mal à l'aise. Elle tend en ma direction le courrier qu'elle a reçu. Elle dit qu'elle a fait son enquête autour d'elle. Personne n'a reçu le même. Qu'est-ce qui la sépare d'eux ? Un seul fait : ils sont tous nés de deux parents français. Pas elle. Elle se souvient, son n° INSEE lui a été attribué l'année de la terminale. Ses parents ont dû produire les documents demandés. Chez les militaires, c'est bien connu, on ment, mais avec les papiers SVP on ne plaisante pas ! Et elle ajoute lentement "Je pèse mes mots !" Elle s'interroge "serait-elle capable de présenter un certificat de nationalité en bonne et due forme ?" Elle rigole parce qu'elle trouve une solution définitive "Dans le doute, je ne me mettrai pas en situation d'être obligée de le présenter". Adieu les voyages à l'étranger. Silence. Soudain, elle pense à son fils. Lui, il aime voyager. Je lui réponds "Chacun sa vie !" Elle me foudroie du regard. Comme elle aime le sirop d'orgeat et que la chaleur est à son comble, je lui en offre un plein verre. Bienvenue sourire. Pour un instant le calme s'installe. Mais ça craint tout de même. Je décide de lui envoyer des cartes postales de tout pays où je me promènerai. Français de chez français, je suis français donc généreux. Puis une question m'interpelle : et notre président, et sa belle épouse, sont-ils capables de présenter un certificat de nationalité française sur deux, trois générations ? A-t-il été obligé, comme tout citoyen français d'en faire preuve en devenant le premier fonctionnaire de la fonction publique ? YAKAKLIQUER sur le titre du billet pour en savoir davantage.

20 octobre 2009

Dilililili ding ding du style fouine, Lodile fouine

Et la voilà qui me dit qu'à force d'entendre tous les discours sur comment cultiver bio et bio et bio bio bio elle fouine sur le net. Et que si je clique d'une plume, je serai au courant de ce qui se faisait il y a quelques anées déjà. Alors je clique d'une plume. Faites comme moi, c'est sur le tibre de ce billet qu'il faut cliquer. YAKAKLIKER !!!! Pour moi, c'est fait. Merci Lodile. Bah, elle est déjà repartie. Mais bien sûr,,,,, vous pouvez prendre un verre. Oui à droite. C'est toujours à droite. Oui, sous la feuille de bardane. C'est quoi aujourd'hui ? Une boisson russe ravigorante : eau bouillnte tirée du samovar, -bien sûr qu'il est de famille, sucre, citron et gingembre. Hum ça vous requinquerait un mort. Et à deux pas d'Halloween ! C'est déjà de saison.

18 octobre 2009

Catherine Ribeiro : entre autres souvenirs, celui-ci

Racines de Catherine Ribeiro : (Refrain) Je ne crois pas en Dieu L'infiniment puissant Parce que je crois en l'Homme À son vol en suspens Je crois au grand Soleil Qui réchauffe la Terre À l'hymne de l'éveil Au ventre de ma mère À la vie Sscrement De sueur et de sang Aux larmes de l'amour À l'arbre du secours (au Refrain) Et je crois au grand vent Qui souffle nos mémoires Au saint du temps présent À l'issue provisoire Aux germes du printemps Aux courbes de l'été Au regard transparent De l'être tant aimé (Refrain) Et je crois aux mystères De nos âmes en sursis Aux fragments de la chair De nos corps insoumis Aux chemins de la croix Qu'il nous faut supporter En l'absence de la foi Qu'il nous faut retrouver

Le Photographe et la Dessinatrice... 1 - vernissage

Ils sont venus ils sont tous là, enfin quelques uns (toute ressemblance avec une personne ou des personnes existantes serait pure coïncidence.... )Ils sont là aussi. Serge ne se sépare pas de son appareil photo. Il vient, il voit, il prend, il montre. Passeur ? Témoin. Quand l'une des "vernisseurs" congratule l'autre "Arrête arrête, trop c'est trop" Voici les deux "vernisseurs" Hubert c'est bath et les portraits d'Estelle sourient et oralisent d'une bulle légère : qui voit les entend. Entre 45 et 33 T Comme sur de la soie ce soir la soirée se déroule. ... à suivre

Conteurs, le photographe et la dessinatrice à leur vernissage

Dis-nous plus ami photographe, on t'écoute. Serge est disponible, il dit. Main dessinatrice Wouahou ! Seraient-elles conteuses ces mains de dessinatrices ? Racines racines.... Holà chamitos, ya se hacen las veinte !!!! Tu fermes ??? j'avais bien compris, merci Zaza... une prochaine fois ?... oui oui oui Et voilà, le bar est fermé, ya plus qu'à rentrer GP GP GPS bien sûr ! Au fait bel anniversaire Estelle

27 septembre 2009

Grippe pas grippe.... dilililililililiding dong dong Tiens voilà rev'là Lodile

Qu'a-t-elle encore ? Même pas eu besoin de lui demander. C'est pas moi c'est mon fils. Il l'A. Je traduis : Agrippa -c'esT le nom de son fiston aujourd'hui- a la grippe. Pralidone et Vilda sont ordonnés : pas plus difficile, qui est-ce et où s'qu'on va les chercher ? C'est dimanche et elle n'a jamais de médoc -sans accent- d'avance. Fallait agir. Elle a agi. Ordi, pharmacie de garde ? Faire le 3237 pour 34 cts d'euro, et apprendre qu'il faut se rendre avec l'ordonnance au commissariat de police !!!! Pratique quand on n'a pas de voiture. Son fils ne veut pas qu'elle parte. K de conscience. Vu que ce sont les jeunes qui l'attrapent le plus vite. Réflexion du haut de mon palmier : fais-lui boire de l'eau et manger du citron ! Elle hurle de rire : il a préféré réintégrer l'appartement de sa mère. Les citrons sont dans sa cité U... en effet, trop drôle. Enfin, pas si sûr. Enfin, on n'en sait rien. Enfin, elle se calme. Enfin, elle s'en retourne. "A demain... peut-être Loizo !!" A demain Lodile. Et je la regarde quitter ma terrasse. Je la connais bien. Lodile, elle aime bien être caustique.

17 septembre 2009

Dili dili dilili ding ding vl'à rev'là Lodile Vive le "chocolate espezo"

le gong n'a pas encore égrèné ses dili di lili ding ding qu'Elle fonce sur moi bras grands ouverts, soulagée. Elle m'embrasse. Et ajoute "Loizo, ta recette au chocolat, c'est un remède ! Mon fils va bien, il a seulement une grosse rhyno-féeryngite (!). Il dort enivré par une de tes fameuses tasses de chocolat. Superbe recette, fameuse. Merci Looizo,, merci pour ton écoute. Loizo, t'es fabuleux" Que je vous dise, je n'ai pas l'habitude de me rengorger souvent mais, cette fois je craque et là, sous vos yeux, je le fais. "Un thé vert ??? à la menthe... mais à quoi pense-je ! Je vous le prépare, j'y vais, j'y cours. Pendant ce temps étendez-vous, et paressez. Chut, on m'obéit. C'est un ordre.

16 septembre 2009

Dilili ding ding dong dong dong, tiens voilà Lodile

Front froncé, mains fermées qui se tordent, menton tendu, "Tu n'as pas l'air d'aller Odile" Façon 45 T, comme écrivait Françoise Sagan, toutes les phrases sortent, tous les mots se bousculent. Je comprends tout. Son fils, rentre de Paris, en deux jours, il grelotte, a mal à la tête, frissonne, ne tient pas debout, bref monte en fièvre. Rien ce matin, un peu plus cet aprèm, beaucoup ce soir. Et le médecin n'avait pas la place de le rencontrer ce soir ! Elle me dit en avoir marre de ne jamais savoir insister. De ne pas oser. J'essaie de la réconforter. "Faut pas voir le pire ; pour l'instant mieux vaut en rire ; voire dormir. Tu peux le surveiller. Lui donner du Lipradone" Et là elle éclate en larmes. "Il n'est pas avec moi, il est dans sa cité" Je la prends dans .... mes plumes. Je lui prépare... on dirait qu'un courant d'air traverse la Terrasse. Il m'inspire. Je lui prépare une tasse d'un bon vieux "chocolate espezo" Que huele bien ! A bientôt. Mi receta : Fundir el chocolate (unos 40g por persona) en un poco de agua, una vez que el chocolate está bien fundido, añadir la leche y dejar cocer a fuego lento durante 5 minutos. Añadir las yemas de huevo. Retirar la cazuela del fuego y batir. Verter el chocolate en las tazas y añadir una c. sopera de crema batida. Pour en goûter d'autres KLIKER sur le titre du billet. SVP

14 septembre 2009

Neuf, 9, nouveau Ker-expo.com le nouveau site est né

Tout feu tout flamme, mis en ligne ce jour, le site Ker-projet.com est le site d'une boutique virtuelle. Il a deux créatrices et deux interlocuteurs : les créateurs (ou fabricants) et les acheteurs(ou visiteurs). L'éventail des créateurs se déploie et déploiera sans limitation. vous l'avez compris ce site est évolutif. Nul doute qu'il n'évolue. Si j'en parle,c'est parce que je connais l'une de ses Kré-actrices. Celle qui se prénomme Estelle. Rousse, souriante, rebelle, mais "air et active", elle est une Vassilissa, à la recherche de la lumière, de sa lumière. Et dans les obscurs de la société actuelle, courageuse, elle tente tout, elle contacte, elle fédère. Chacun adhère. Dans l'aventure tout le monde avance. Toutes mes féelicitations Demoiselle Estelle et Demoiselle Catherine, pour cette naissance à laquelle vous avez donné le jour : et je l'ébruite, à ma façon, et vous offre ces dragées

12 septembre 2009

Une phrase. Question-interrogation.

Notre plus grand mérite n’est pas de ne jamais tomber, mais de nous relever à chaque fois. Qui l'a dite ? Peu importe. La phrase est là. Quand aujourd'hui les travailleurs en sonot à se suicider dans leurs bureaux, à se défenestrer sous les yeux de leurs collaborateurs, cette phrase m'interpelle LOIZO. Comment se relever ? Important. Pas de réponse ? Des interrogations. Seul ? Les autres ? L'autre ? Un coktail bien dosé, de moins en moins facile à fabriquer. Prudence. Ne pas multiplier les chutes. Mais c'est vrai que les entrepreneurs ont l'obligation de veiller sur l'état de santé de leur personnel. Seraient-ils fragiles eux-mêmes, dépassés par des théories et des savoirs-faire dont ils ne soupçonnaient pas les utilisations et les résultats ? Se méfier des désignations. Elles concernent celui qui les émet lui-même. Quant à désigner quelqu'un comme fragile il y a une marge : qui ne l'est pas ? Et ne faudrait-il justement pas l'être de façon subtile jusqu'à comprendre qu'il faut lâcher. Pour ne pas tomber. Sais-tu Loizo, je me demande si les conteurs ne devraient pas être présents au sein de certaines unités industrielles. Je pense soudain aux lectures qui étaient faites devant les ouvriers cubains quand ils roulaient les cigares. Les conditions ne sont pas les mêmes certes, mais cet intermède -il faut s'interésser aux intermèdes, ils permettent de casser le rythme et de ne pas s'essoufler- cet intermède pourrait se dérouler autrement. Moi Loizo je ne peux m'empêcher d'interpeller Lodile "olà, Lodile, week end, cool, tranquille" Elle répond qu'elle est tranquille. Qu'elle réfléchit, tout simplement. Je la devance. Me précipite et lui prépare dans un verre bio, cette boisson qu'elle adore et qui s'appelle : un cuchi-cuchi. Pourquoi ? Parce qu'elle contient son sirop préféré : du sirop d'orgeat. Sa tête penchée vers moi, son sourire radieux et ses lèvres humides me réjouissent. Le gong frémit : dili dili ding ding J'y pense, pour rendre à César ce qui est à César n'oubliez pas. YAKAKLIKER sur le titre du Billet.

11 septembre 2009

Eros, et nikoraka@yahoo.fr tout de go

RENNES : mercredi 9 septembre à 20h30 au Café librairie Le Papier Timbré(39, rue de Dinan)RENNES : jeudi 10 septembre à 20h30 au Café Librairie La Cour des Miracles (18, rue Penhoët)C'est passé. Restent BECHEREL : vendredi 11 septembre à 17h à la Librairie Salon de thé de la Porte St Michel (1, Porte St Michel)SAINT MALO : samedi 12 septembre en appartement. LE PETIT TRAITE DU PLAISIR QUI MET OUBLI A LA MORT Un voyage d’une heure à travers la Poésie Erotique du XVIème siècle… Réunis en une petite Comédie en cinq Actes, en cinq moments de la rencontre amoureuse, du petit désir à la Petite Mort, puis à la Grande, les poèmes de Rémy Belleau, Olivier de Magny, Mathurin Régnier, Malherbe, Marot, Ronsard…abordent tous le jeu de l’Amour, parfois avec une tendre pudeur, parfois au contraire avec la crudité franche et drôle propre au siècle de Rabelais, et toujours avec le même génie du mot et de l’image. Exhortations, odes, hymnes, complaintes, épigrammes, toutes les ressources de la Poésie sont ici explorées pour dire « la Chose » et combien on aime à la pratiquer. Le tout dans une musicalité inouïe et une joie communicative. On rit, on s’attache, sans s’effaroucher du propos, la versification apportant toujours la juste distance. Et l’on découvre que l’intelligence peut englober le corps plutôt que de devoir à tout prix le dédaigner. Diplômé de l’ENSATT (Ecole Nationale Supérieure des Arts et Techniques du Théâtre) en 1999, Nicolas RACCAH se consacre avant tout à servir des textes. On a pu le voir notamment aux côtés de Claude Rich dans le Caïman, au Théâtre du Montparnasse, ou l’entendre sur France Culture, dans le cadre de lectures et de dramatiques radio. Pour le joindre

10 septembre 2009

Passez donc Rue de l'Orguenais - Bruz- 35 les jardins sont "tout verts"

ils sont extraordinaires, dit-il et il le chante. Voulez-vous écouter Charles Trenet ? Simplissime. YAKAKLIKER sur le titre de ce billet ! Et pour la cachaça, ou le mojito... toujours à la même place, au frais sous la feuille de bardane. Suivez le plan

09 septembre 2009

D'une génération à l'autre

Enthousiasme : 7ème ciel !!! Enfin. Merci les filles, sans vous je n'y serais pas parvenue. Illusion Prendre ta place ? Qu'est-ce que tu racontes, j'ai tout mon temps moi ! Une p'tite mousse, un' p'tite mousse pour me remettre ! Bienvenue petite mousse. Original, à la paille. Merci Comment ça je fais ma fière ? Vaut mieux, non, dis donc didou. C'est pas quand je ne serai plus chevelue que je la ferai. Et pour finir, une Toulou-zen-attitude : vertes circonvolutions et galets bretons, boudu C... té. Et vive Claude Nougaro especially today, birthday's. Et bé, té, un p'tit Madiran pour fêter ça et un p'tit YAKAKLIKER pour l'écouter Comment ça c'est quoi YAKAKLIKER ? YAKAKLIKER, sur le titre du billet. Signé "La Catinou, pardi".

08 septembre 2009

Sud, Est, côtés Fleurs

Septembre, matin, côté est : un air d'été ? Le soleil s'avance : ça swing danse trans balance entrelace cherche, recherche dans la famille Volubilis. Té où ? septembre, midi, sud : il se dénude. Se déploie Peuplier, Volubilis têtent à têtent La rose trémière s'expose Le ciel s'extasie.