29 septembre 2008

Adulte. Lodile n'est pas stupide, elle est adulte alors

elle me parle et moi Loizo, je lis, j'écoute, et je conclue. Lodile m'a quitté. Le gong n'a pas tinté. Gravité ou légéreté : on n'évoque pas l'un sans l'autre. Alors, cliquez sur le titre.

27 septembre 2008

Mon étonnant webmestre est venu sur ma terrasse et il a fait

des photos ..... de "Sieste aux spiecroiséds" (pieds croisés) de ma porte, avant de s'apprêter à la "toquer". Un regard aguerri et un hasard fabuleux donna cette " Besace rouge à la porte" Laissez-moi vous quitter pour offrir à cShâccabac oie à la sauce douce, agneau grillé aux amandes et petit vin de pays... Non ? Pourquoi non ? Ah oui, ramadan. A ce soir donc pour les libations

Voilà revlà Lodile à pleurer Paul Newman

C'est clair elle est émue, à émouvoir le gong. Et elle déclare qu'elle se transformera dès l lendemain. Inspiré par Paul Newman. "Dès demain je me fais steak !"
Je crois comprendre. Je lui réponds
"Es-tu sûre que tu possèdes les mêmes yeux bleus à la maison".
Lodile est naïve. Elle n'imagine pas chez moi un brin de causticité. Elle dit avec simplicité
"Je ne comprends. Je sais seulement que dès demain je me fais steak"
Pour que vous compreniez je vous livre un extrait d'article : "Interrogé par le magazine "Play Boy" sur sa fidélité maritale, cet adepte de l'ironie et de l'humour à froid répondait :
"J'ai un steak chez moi. Pourquoi irais-je manger du hachis ailleurs ?"
En attendant de passer aux fourchettes, que diriez-vous d'un p'tit verre de thé à la menthe ? Comme toujours, sur le plateau cuivré.

26 septembre 2008

Où va le monde ?

Ouvrir, par les temps qui courent, la première page d'un serveur sur le net, peut ôter le goût de la lecture. Katastrop'Hhics en chaîne ! Tout s'écroulerait-on veut le faire croire- et les enfants ne sont même plus à l'abri. Ils disparaissent à toutes les sauces. Y compris dans un certain pays. Mais dans celui-ci toutefois, les habitants sont nombreux à se féliciter : ils possèdent le meilleur président de la république, mondial : il s'appelle Caloni ZiKoTsar et il a assuré mordicus qu'il protégerait envers et contre tout leurs ZéKonOMies : de quoi se réjouir, faire la fête, la re re faire. Il a sûrement une baguette magique. Vive les baguettes magiques. Et pendant ce temps sur la banquette d'un autobus durant vingt minutes, le seul sujet de conversation d'une fille et deux garçons était : tu le paies combien ton forfait ? De quoi fermer ses oreilles et plonger dans un conte pour les ouvrir de nouveaux. Il était une fois.... Tu sais pourquoi on a inventé le Trou toi ? Pour y ranger le vide du monde. Tu sais pourquoi on a inventé les draps toi ? Pour que les fantômes puissent déambuler en paix. Tu sais pourquoi tu n'as pas été invité à l'inauguration de l'exposition sur le Roi Arthur toi ? Parce que je ne suis pas vide.

22 septembre 2008

mou molle mollesse, vive le rire qui étrangle d'après Lodile

Ho Loizo Elle m'interpelle aussitôt entrée
Je t'écoute Lodile
Tu connaîS les montres molles
Qui ne la ne les connaît pas ? Je réponds Oui.
Tu connais ma sorcière à la bouche molle ?
La sienne, non d'autres oui. Je préfère être honnête. Je réponds Non.
Elle ne se démonte pas. Alors tu la connaîtras, mais pas aujourd'hui. Tu sais que la croissance est molle ?
Moi que voulez-vous dans mon palmier de Marrakech, j'entends surtout chanter le vent. Je préfère être honnête. J'avoue : Non !
Elle commente : "ça existe et ça s'installe" Et le rire qui étrangle à mourir, tu connais ?
L'idée de mourir étranglée ne me fascine pas mais rire ça change tout. Plutôt sympathique non ! Je réponds que j'aimerais le rencontrer.
Et elle continue "et bien dommage que tu ne sois pas venu avec moi hier, car tu l'aurais rencontré. Gageons même que nous nous le serions communiqués et que nous en parlerions aujourd'hui d'un nuage à l'autre. Je te raconte. Un truc fou. J'entre dans un village et soudain, alors que je pensais mordicus que je devais aller tout droit heuh... deux sens interdits pour la même voie. Je tourne à gauche à temps mais cale subitement. Le conducteur derrière m'évite de justesse. Je rédémarre et tourne à droite aussitôt car c'est ce qu'il fallait faire. Devant moi une belle auto. Et surtout, à peine deux trois déroulés de roues, un STOP.
Topographie des lieux : à ma gauche un sens interdit encore ; à ma droite la direction d'où je viens ; tout droit, une rue, la seule à pourvoir être empruntée. Je l'emprunte et je me dis qu'il faudra qu'au fond je tourne à gauche. Mais j'ai comme un doute. Je connais un peu les lieux. Le conducteur qui me devançait confirme : il fait déjà une marche arrière. Je l'esquive à mon tour et dans ma manoeuvre fais crisser les pneus. Dans le rétroviseur je remarque un enfant qui tombe de sa bicyclette : l'ai-je touché ? Ce serait moins marrant. Non, rien du tout. Banal. Une chute de vélo un point c'est tout. Il est déjà debout. A voir la tête du conducteur de la belle auto, déjà je riais, là j'éclate : il est désespéré, perplexe. Il doit se dire, à l'instar de Devos ou de Zazie qu'il tourne en rond. Moi aussi. Rien que l'idée je me mare. De nouveau sur la place, lui réfléchit encore, moi j'agis, je tourne à gauche. Je prendrai plus bas sur la gauche. Là j'aperçois des panneaux déviations dans les deux directions : c'est au choix. On ne va nulle part mais on y va. Je n'en peux plus, je pleure. Lodile se tait à cet instant précis. Je n'ai pas tout visualisé, mais j'ai compris qu'elle tournait en rond dans un triangle. Je le lui dis. Est-ce que vous l'entendez ? C'est fou comme elle rit quand elle rit. Elle en pleure. Voilà que ça me prend aussi, rien que de l'entendre. Bon alors, belle journée et surtout n'évitez pas les ronds points triangulaires s'il vous plaît : ils font rire. Vous voulez l'adresse : hé bé, je ne vous la donnerai pas. Enfin, vous la possédez déjà. Belle journée à tous et toutes.

19 septembre 2008

Soirée conte sur la terrasse

Il y a seulement à cliquer sur le titre et à dérouler les billets jusqu'au presque dernier

Petite gourmandise de nuit sur la terrasse

de la part d'Odile. Discrète, je n'ai pas même entendu le diling ding ding, elle l'a déposée sans un bruit.
de la part de Guido Daniele. Moi Loizo j'aime bien, ça m'amuse, ça me plaît. Rétrospectivement
Odile me dit qu'elle en regrette d'avoir empêché son fils de peindre à même sa peau. C'était son dada ! Comme quoi, n'est pas parent qui veut.
Bonne dégustation.

18 septembre 2008

diling diling diling ding dong Bretagneinterproduction

Elle est marrante Odile. Pendant que la chanson du gong s'efface elle ébruite. Je veux dire elle me parle d'un jeune chef d'entreprise qu'elle a rencontré, d'un site qu'elle a visionné, d'un coup de foudre dont elle veut que je témoigne. Mais pourquoi pas Odile, pourquoi pas ! Et vous qui me lisez, vous connaissez la règle du jeu : il suffit de cliquer seulement sur le titre. Soyez curieux. Oh bé mince, comme ils disent à Toulouse, la voilà repartie. Bon, ne restons pas désoeuvré. Fêtons le jeune chef d'entreprise. Si je me souviens bien il se nomme Ronan. Féelicitations Ronan. Tchin tchin. Mais oui, pourquoi pas avec un thé à la menthe ? ça alors, mais pourquoi pas ! Et clin d'oeil.... vive Rabat. C'est vrai après tout, il n'y a pas que Marrakech et en tout cas, vive les bleus de ma Terrasse.

11 septembre 2008

Petit guépard d'automne

Petit guépard tombé d'un ciel d'automne et à allure de hyène

08 septembre 2008

J'aime bien quand le sujet n'est que prétexte

Depuis peu j'ai accés au net, derrière la 7ème palme de mon palmier sur manotre terrasse. Trop drôle. Je tente de vous faire partager mes découvertes.
Cliquez donc sur le titre du billet et découvrez-le : Quand cet homme parle je ne comprends rien à ce qu'il dit -pourquoi ne me parle-t-il pas en espagnol ?- mais quand il joue je comprends qu'il est un fou...de.... allez voir. Je suis comblée. Quelque part, j'aime les fous. Cliquez donc sur le titre du billet et découvrez-le (ou re-)
Allez soyons fou, un mojito ? Tchin tchin ! Fameux le citron vert !

Sur la Terrasse hier

Entrez, installez-vous, prenez vos aises, soyez chez vous. Asseyez-vous, allongez-vous, étirez-vous, baîllez, si vous le désirez ou levez les yeux au ciel. Chut. Contemplez, écoutez, sentez, inspirez, goûtez, touchez... Au dessus de la Terrasse, les étoiles curieuses se penchent vers le hamac.
Lui se balance avec nonchalance. Par-dessus le mur ocré, la girafe tend le cou, curieuse.
Le dromadaire à ses côtés blatère.
Les crissements de la tortue sur l'allée de gravier cessent. Glissée sous le banc, elle déguste sa fraîcheur. Sur l'eau de la fontaine les pétales de rose se grisent. Au-dessus de leur miroir le palmier se hisse, la théïère espère doucement et la brise répond : le gong chante et vocalise DinnnInnnnInnnng. Sur le plateau de cuivre, Larmauny soulève la théïère et le thé de la paix coule à flots dans les verres colorés : cela fait un an trois quart déjà.
Bonjour à chacun chacune.
Merci de vous arrêter. Belle et heureuse rentrée 2008-2009. Amitié, Loizobleu

07 septembre 2008

Des mains qui rugissent.... ? La preuve somptueuse

Je sais, je sais, je ne manque pas de plumes, je sais. Que voulez-vous, je ne peux m'empêcher orgueilleusement de vous faire découvrir ce site alors que peut-être vous le connaissez déjà. Belle promenade dans ce zoo "aimantant" nos regards. Rien d'autre à dire, circulez, il faut voir.
Comment ?
Suffit juste de cliquer sur mon titre de billet. Au revoir.
Ah j'oubliais, j'ai mis quelques barres de turron sur la table basse, goûtez et profitez, c'est gracieux.
(PS : il me plaît d'apprendre que cet artiste est de la même classe que Loizo, (votre serviteur) soit 1950. Et s'il était né en juin ....)

Faute avouée à moitié pardonnée

Au Centre Culturel Pôle Sud à Chartres de Bretagne, le mardi 14 octobre, on se passera de Marcel Amont qu'elle souhaitait, mais on l'accompagnera sur cet air là : ça changera de M'dame Bertrand de la fameuse Pitoune qu'elle ne cesse de seriner encore depuis sa découverte lors d'un vieux vieux voyage au Québec : merveilleuse descente sur l'aéroport by night, ambiance match de base-ball commenté dans le taxi par le chauffeur, surprise de ses camarades devant la grandeur de la voiture et surtout l'accent des cousins -elle, c'est la deuxième fois qu'elle vient l'attribution des chambres à l'hôtel, la découverte de Montréal dès le petit matin, de son port, de sa Bourse, de sa ville sous terre, métro oblige ; de son parc et de son gratte-ciel à l'ascenseur descendant vitesse V sans oublier les rapides de Lachine, la faculté de Laval, Québec, le chateau de Frontenac, ses calèches, les longues routes à n'en plus finir, les forêts traversées sans plus croire à leur sortie, Chicoutimi, Latuque, Lac Saint Jean, Monsieur et Madame Félix et bien d'autres moments encore. Des pommes de terre ? Pas que je me souvienne. Plutôt des épis de maïs au beurre fondu et sel par-dessus, oh le régal. Le régal. Ya plus qu'à cliquer sur le titre !

Chevilles chaussures argentées, souliers rouges....

Wouah, quel est ce piétinement inattendu ? Des talons sur ma terrasse plutôt que des babouches. Pho toooooooooooo oh ! Bon ben, quand on n'est pas doué on n'est pas doué. Moi Loizo, je préfère les plumes Sergent Major ou calame. Mais quel dommage que je ne me sois pas mieux débrouillé avec les chevilles de la soeur à Lodile. Réconfortons-nous vite avec elle : thé à la menthe où à la cannelle ? Excellent, j'y vole. Moi aussi j'adore le sublime de l'odeur cannelle. Ha nnnn hummmmmmm je la déguste

03 septembre 2008

Diling ding ding diling ding ding plutôt joyeux le gong

et moi Loizobleu, j'en meurs de rire. Ce que Odile me raconte m'effare mais fait preuve de ce qui se passe. Cette ère est sans pitié. Odile est ma copine. Odile a une copine. La copine d'Odile à une copine qui a une copine qui a une copine qui est au chomâge. La pauvre ça ne va pas s'arranger pour elle faut quand même bien le dire. Vu son âge : 62 ans. Je ne voudrais pas médire mais à cet âge, ce n'est plus l'heure de travailler. C'est celle d'aider les jeunes à prendre la place des seniors. Je meurs de rire. Travailler à 62 ans. Bon bien sûr ce n'est pas comme pour la cardiologue. Elle opére encore à 72 ans. C'est tout transmission de savoir. Mais l'amie de l'amie de l'amie de l'amie de l'Odile ce n'est pas tout à fait ça. N'empêche que chaque mois, toutes les trois semaines, elle a un rendez-vous avec LANE PEU.
LANE PEU c'est un organisme qui dynamise les chercheurs d'emploi. Mais là, hi hi hi hi hi, je ris encore car ce n'est pas tout à fait qu'on la dynamise, c'est plutôt qu'on la lamine. Je meurs de rire. Cela fait sept mois que son référent la reçevrait et lui demanderait avec insistance de quitter les Dicassez. Du style "Sachez-le Madame, vous ne retrouverez plus d'emploi . Quittez, vous avez l'âge. Sinon je vais être obligé de vous proposer un emploi éloigné de chez vous et surtout hors de vos compétences et vous ne pourrez plus refuser !!!" Je ris, je ris, mais finalement, à tout bien réfléchir, je me sens un brin tout penaud. Ce n'est vraiment pas drôle cette situation. Quoique, personne n'est responsable de personne. Cette situation si l'amie de l'Odile la vit, c'est tout de même bien de sa faute non ? "Ecoute Lodile finalement, ton histoire elle ne me fait pas rire du tout, elle me file plutôt le bourdon : à l'avenir évite donc tout sujet qui pourrait me filer le bourdon. Et aujourd'hui... "
Elle ne m'entend plus Lodile, elle est déjà partie, seul le gong vibre de plus en plus doucement. C'est fini. Pas si mal. Salut le perroquet ! Salut Loizo bleu ! Une p'tite graine à se casser ? Non sans blague, déjà l'heure de casse-croûter ? Déjà fini le premier jour du Ramadan. Alors oui Perroquet, file-moi quelques graines de pipas ! j'adore !! Vous aussi ? Excellent, prenez -en !