30 janvier 2006

juste un tout petit conseil

Parfois, mes textes feuilletonnent. Alors, repartez en arrière, vous pourrez comprendre plus facilement. 2006 mercis bienveillants pour m'obéir mais surtout vous arrêter sur ma terrasse !
Franchement, je me sens bien sur cette terrasse. Cette avalanche de couleurs ocre terre cuite déclinées à l’infini me convient : les briques du muret, les jarres, les balcons, les tuiles du toit, le rebord du bassin, la petite sculpture….. Houm ! Ah mais cette interjection là, c’est plutôt pour le parfum du petit café turc ! Houm houm, un vrai plaisir. Il vous change de la neige ! Tiens, j’entends quelqu’un qui vient. Je tourne la tête. Bonjour, qu’est-ce qui vous mène là ? Le parfum ? C’est idiot, c’est tellement évident ! Oui, vous avez raison ce café est un délice, servez-vous, s’il vous plaît, si si j’insiste ! Comment pour la suite ? Quelle suite ? Non non, sincèrement je ne vois pas. AAAAAAAAAAh ! J’y suis, la suite ! Mais oui, pardonnez-moi, quelle sotte je fais. Installez-vous confortablement, ….. oui, si vous voulez, ….. sur le coussin violet, s’il vous plaît. Vous êtes prêt, j’y vais. Suivez-moi. Car c’est bien de cela qu’il s’agit. Et bien aïe, je me suis pincée, si fort que je vais sûrement avoir un bleu. Remarquez il y a de quoi. Notre calèche à l’instant est bel et bien devenue un traî…. Et si bien que c’est tout juste si nous nous étonnons tous les trois quand nous entendons sa voix dire « Allez Arthur à ton tour ! » Comment faire autrement. Tout y est : clochettes, bois, harnais quoique là, il faut préciser, ni un ni deux, ni trois, ni quatre mais huit ! Un pour chacun des rennes. Je rêve, nous rêvons, nous allons nous réveiller ! Pas du tout et impossible d’en douter. Arthur amorce un virage sur la droite et moi, qui me tenais debout pour mieux voir, je dégringole sur la banquette ! Shocking ! L’ordre vient de tomber « Arthur, Cheminées toutes ! » Vous soupçonnez ce qui est arrivé. Arrêt à chaque cheminée du Monde jusqu’à la dernière. Peut-être la plus surprenante. « N’oubliez pas vos paquets » dit-il presque d’un air fâché. Faut dire qu’avoir fait le tour du monde pour rien ! Mais faut nous excuser aussi, ça rend un tantinet étourdi d’ « atraîner » sur le toit de la maison de votre enfance un 25 décembre à minuit pétantes ! Mon fils et moi interloqués, -mais un peu plus un peu moins- nous obéissons et un par un les faisons tomber dans la cheminée. Thibaud les a suivis et moi aussi. Et en descendant je me demandais si j’avais bien vu : Arthur m’avait-il fait un vrai clin d’œil ? Trop tard, nous avions atterri pour de vrai c’coup là. Et à cet instant précis, je vous laisse imaginer. A l’odeur, dans le four, la dinde déguste ses derniers moments de chaleur ; dans les assiettes, la nage aux saint jacques vient d’être servie et à l’instant cinq cuillères se paralysent et cinq bouches bées nous regardent à se coincer les mâchoires…. On les aide –c’est plutôt inconfortable, n’est-ce pas ?- « Et bien, vous ne nous reconnaissez pas ? » « Euh ! Si, enfin, oui, mais on a écouté les infos et on pensait que »….. « Raté, c’est bien nous ! On peut faire la fête avec vous, non ? » « Oui bien sûr mais avant vous pourriez peut-être nous raconter ? » Et ça, voyez-vous, je l’ai fait, Didier et à ce moment-là je me suis tournée vers celui qui m’accompagnait sur la terrasse : « Oh bé ça alors –comme ils disent à Loutouse- vous vous habillez en rouge maintenant Didier ! C’est étrange, vous me rappelez quelqu’un, attendez, je cherche… mais partez pas, je vais trouver ! Il est parti. Ah la barbe ! ça me revient, le groom de l’hôtel de Stockholm bien sûr ! »

28 janvier 2006

A suivre, bien évidemment

et comment faire autrement ! Nos trois destinées -immédiatement muettes comme carpes- sont entre les mains d'un inconnu visiblement audacieux. Grâce à lui, nous quittons l'aéroport enveloppé d'une belle ogresse de nuit tout habillée d'une cape d'ouate blanche. Et la route défile. Mais si la route défile, si nos cheveux s'ébouriffent, si le vent nous rosit les joues et le bout du nez, voilà qu'aucun des trois n'empêche nos esprits de s'étonner pour la deuxième fois. Impossible de ne pas le faire : notre belle décapotable..... elle n'est plus décapotable ! Elle est calèche ! Nos trois têtes s'interrogent. Mais elles n'en sont qu'au début. Les voilà qui partent chacune l'une vers l'autre en girouettes affolées. Et comment faire autrement quand, stupéfaction des stupéfactions la belle décapotable, devenue calèche n'est même plus calèche. S'il faut en croire nos yeux nous ne pouvons que constater que notre calèche est bel et bien devenue .... à se pincer pour y croire. Alors faites comme nous, pincez-vous" et suivez-moi pour l'instant sur la terrasse, un petit café turque nous y attend ! Quand je pense que chez moi, dehors, il neige sous un ciel de plomb, il sera le bienvenu.

26 janvier 2006

A suivre, mais pas tout de suite. D'abord Odile !

La voilà de nouveau toute tourneboulée. "Incroyable, c'est vraiment incroyable" me dit-elle " Je suis outrée" dit-elle -non non je ne ferai pas le jeu de mots auquel vous pensez il vaut mieux être outré qu'outr.... oh, vraiment trop facile et de plus pas sympathique du tout. Mais revenons à Odile ! Comment pas encore, mais si justement, parce que c'est à mon tour d'être outrée. Ne le seriez-vous pas si vous aviez enfin décidé d'acheter d'autres verres progressifs, tout en respectant l'ordonnance de l'ophtalmo, qui plus est en achetant une monture à 50 % du prix pour ne pas abuser du fameux trou -une chance car ce sont les soldes aussi chez l'opticien- et que le contrôleur vous fasse remarquer, comme si vous étiez inconscient, la forte somme qui restera à votre charge. "Fait pas bon être à la CMU, on t'y prend toujours pour une débile" me dit Odile. Et elle ajoute en riant "Tu sais Loiseau (c'est comme ça qu'elle m'appelle, j'ai jamais su pourquoi) y en a qui te disent que le Père Noël ça n'existe pas ! ce sont des fous ceux-là car moi cette année, je l'ai rencontré. Mais si je le lui avais dit.... m'aurait pas crue !" J'ai pensé que pour le coup Odile était trop outrée. Pour la remettre de ses émotions je lui ai dit : "Tiens Odile, fais-toi plaisir, déguste-moi un peu ce fameux p'tit mojito ça te fera oublier tout ça, peut-être même que tu te mettras à danser ! Et le meilleur c'est qu'après l'avoir bu le mojito elle t'a dansé pour de vrai une rumba super canon ! "Super ta terrasse, un vrai plaisir Loiseau, à revenir" Et pfuitttttttttt Odile, elle s'est envolée

Oui, avons-nous bien fait d'accepter

car tout de même, il fait très froid ce soir. Hiverglace -si vous me permettez- et il brouillarde aussi -ou tout au moins ça s'espère facilement, puisque c'est la raison de l'absence de notre avion !- Alors ? Il est ouf cet homme dirait mon fils, qui est à mes côtés. Et qui d'ailleurs me le glisse déjà tout bas dans l'oreille gauche pour être précise ! Pour une fois, je suis d'accord avec ce terme et à l'air du troisième larron nous sommes déjà trois à le penser. Alors ? Pourquoi obéissons-nous à notre chauffeur, hein ! Car nous lui obéissons et montons sans broncher ....Trois portes claquent. Trois regards hébétés se croisent. Chacun d'eux se demande quel est le plus ouf des quatre à la vue du seul véhicule qui roule à l'instant sur le parking, soit le leur. Une belle décapotable ... à suivre !

24 janvier 2006

Il fait doux sur ma terrasse

Les perruches bavardent tranquillement amoureuses, mon hamac jaune orangé me balance, la petite brise soulève les pages de mon livre pour moi et juste au bon moment -je ne sais pas comment elle "fée" pour me deviner si bien- Et voilà que le portable drrin'gue ! Le temps de le saisir et de lire le texto, autour de moi les glaçons pendent aux palmier, la fontaine fume, les perruches se taisent et mon hamac prudent jette sur moi une belle couverture cainemora toute de laine rayée : - 24 ° chez Effache ! Brrrr, un brin de compassion ne nuit pas ! Je tends le bras pour m'emparer d'un filet de vodka.... sans glaçon bien évidemment

22 janvier 2006

Non non, il n'y en pas sur ma terrasse*

mais ailleurs il y en eut. C'était il y a longtemps. Du temps où il s'y promenait. Personne ne savait qu'il s'y promenait mais il s'y promenait. Qui ? Peter Pan ! Où ? Dans le parc de l'Ame aux Niais où il aimait se trouver à l'abri. Personne ne pouvait le voir. Rien ne lui échappait. Et comme il s'y connaissait en corsaires, il reconnut Jean Bart*, pile au moment où celui-ci se retournait sur Sophisticated Lady, si Shy Lady que Papy René lui-même -quel amateur éclairé celui-là- aurait succombé sous son Charme Fou. Le Docteur Charles Favier, Original, lui préférait le Doux Visage de Eleonor Rawlings une fois de plus entourée de Nathalie et de Léna. Dernière conquête de Bel Ami, celui-ci réprimait difficilement le Grand Frisson qui le gagnait. Elle était si belle, qu'une Sensation Stardust s'empara du Jeune Loup. Courageux, devant une Gracieuse Nana chapeautée d'un Cheribibi très Champs Elysées, il développa soudain le Génie d'un d'Artagnan. En un seul Flash il se fit Champion d'une Douce France tout en Délicatesse et, soudain Magicien, fait apparaître une Bella Eva Boer. Celle-ci, sur un Clair de Lune au beau saumon rosé appréhende, dans un Tutu Chantilly son First Succés. Sous le kiosque 1900, ses mouvements gracieux sont comme un signal. Le Kwintet entame une Waltz Tuba, développe une Walz Fanfare fantastique, la fait suivre d'un Swing Time si langoureux qu'il clôture cet intermède musical par un Stolze Von Berlin invitant chacun et chacune au délicieux partage d'un apéritif champêtre. Ainsi mis en appétit, le Fier Gaulois se mit à la recherche d'un Cordon Bleu qu'il savait se tenir au Super Castille, le restaurant où l'attendait le Cardinal Farges devant un Corallina au rouge étonnament millésimé. Mais beaucoup trop pour Peter Pan. Il s'évanouit à sa vue discrètement, pour réapparaître dans.... Quel est ce léger bruit, pourquoi mon massif d'impatiens bouge-t-il soudain ? Je rêve ou j'entends vraiment un tout petit air de clochettes. Impossible de vous en dire davantage, une poussière d'étoiles d'or s'empare de moi et je ne peux lutter. Me voilà en train de m'en dor.... Chut, je dors. (*tous ces noms sont des noms de Fuschias) A bientôt

21 janvier 2006

Äaââââ^^oôôooooo ââ^comme j'ai bien dormi....

Âhhhhhhhhhhh, horreur, mais qui êtes-vous ? Que faites-vous là au pied de ma chilienne ? Si tôt! Mais qu'est-ce que vous dites, vous m'attendiez ! Quoi, vous m'attendiez ? Mais, pourquoi faire ? Pour me lire ? Pour lire la suite ? J'ai commencé quelque chose ? Je regarde de tous côtés et j'aperçois un verre de jus d'orange. Ô quelle charmante attention, vous m'avez amené à boire. Alors seulement me vient aux narines l'odeur du café et celle de la brioche sucrée. Et je remarque le clavier déjà prêt et l'écran allumé. Ni une ni deux je petit-déjeune, j'embrasse , et je m'installe. Pour ne pas vous faire attendre davantage. Surtout qu'Odile va partir en sanglots, ça c'est sûr. Sa cage thoracique se soulève d'étrange manière et qu'elle menace de. Et bien voilà elle pleure ! C'est bien la première fois que je la vois pleurer ainsi. Elle n'est pas du genre à se laisser surprendre d'habitude. Allez Odile, remets-toi, conte-moi (elle arrive à sourire). L'inverse de la situation peut-être. Allonge-toi. Elle refuse. Il faut qu'elle me dise. Et entre trois sanglots et quatre apnées elle dit. Et si bien que je comprends; Qu'elle allait prendre son bus à 18 h. Son petit sac à main en main et un paquet de croissants -détail important- aussi. Qu'elle a vu tout de suite le banc occupé par un petit nombre d'ados. Qu'elle s'en est tenue éloignée. Qu'en choeur ils lui ont demandé des croissants. "Contre 2 € d'accord". Qu'ils ont ri. Qu'intuitive elle s'est tenue en retrait. Pour soudain les voir -mais trop tard- se précipiter sur elle, l'entourer et sentir que le dernier lui arrachait les croissants et le sac ! Puis sauve qui peut tout le monde ! Elle aussi. Si bien qu'elle me conte ses péripéties péripétiennes (cycliste, conducteur de bus, automobiliste.... Bref elle se débrouille mais rien n'y fait : plus de sac, plus de carte de bus, plus d'argent, plus rien. Et au commissariat "on peut rien pour vous ma p'tite dame, c'est le week-end et c'est pas notre quartier !" Mais bien sûr que je la réconforte. Et bien sûr que je pense à un certain discours entendu le matin même. C'était quoi au juste, se risquer à sortir plus souvent la nuit ? Allez Odile, tes pâtes préférées, on s'en fait un plat ? On se l'ai fait, fourchettes en main. Merci de ne pas l'ébruiter ! 18 h en janvier, jour ou nuit ?

20 janvier 2006

Quand les évènements se rejoignent

Ils peuvent donner ces quelques lignes. Disons que tout commence lors d'une galette des rois un peu officielle. J'y suis. Un seul regard constate l'absence de jeunes gens et jeunes filles. Plutôt troisième âge, l'ambiance. En cinq points un tour d'horizon des projets et en conclusion invitation à adopter de nouveaux comportements. Par exemple, ne pas craindre de sortir la nuit. C'est vrai quoi, certains craignent de le faire, on se demande pourquoi, parce qu'il n'y a vraiment aucune raison. Ou encore innover : changer de couleur de vêtements, saluer son voisin, aller vers l'autre, se risquer à.... Et devant autant d'incitation à se laisser aller à l'audace je m'échappe. Et passe la journée. Quelques soldes rapides et retour dans son douillet chez soi. Et dans celui-ci, sans bouger, le changement se présente. Dringggggg ! Quelqu'un sonne à 20 h 30. C'est si inhabituel que ça en paraît étrange. Allons voir. La nuit, autant que vous le sachiez, je prends sur moi. C'est tout. Vous avez compris : j'ai peur, alors oeilleton oblige et ouf, je découvre de l'autre côté de la porte un visage connu. Rassurée je l'ouvre. Et savez-vous ce que me dit ce visage ? Laissez-moi ne pas vous plonger dans le suspense : "Tu sais pas ce qui m'est arrivée ? Faut le faire, ah vraiment franchement !" Odile semble complètement bouleversée, elle est au bord des larmes, dans une agitation extrême ! "Mais entre, n'reste aps là sur le paillasson, tu vas me dire" Olà mais que m'arrive-t-il à moi qui suis en train d'écrire ? Je ba a a ay eeeeeeeeeeee. Je suis franchement désolée mais mes doikts gt ne tionfonctent plus strè bien. Je iuss ogibleé ed souv kitter ! Téenui nebon ! A demain

19 janvier 2006

Tant que j'y suis

Bonsoir. Vous passez ? Quelle bonne idée. Mais oui, entrez, asseyez-vous. Comment allez-vous ? On parle tout le temps de violence. Mais il n'est montré que violences. Et jusque dans nos appartements, cossus ou pas, elle se présente. Sans rien faire, sans avoir rien demandé, en se levant tout simplement et en allumant la TV avec pour seul alibi de connaître l'heure. Vous avez raison c'est bien la seule chaîne à donner l'heure ! Et qu'ai-je aussitôt vu ? A l'heure où les mamans préparent leurs enfants ou tout au moins les aident. Sans ambiguité aucune ! Un homme, de dos, dans une cuisine de rêve face à un évier rutilant et qui prend visiblement son pied parce qu'il manipule son...... Avouez que tout comme moi vous y avez pensé ! Et bien nous avons les idées mal placées. Il ne manipulait que son fouet pour monter..... ses blancs en neige ! Et l'on est sensé hi hi hi être plié de rire et ne pas oublier la marque de cuisine vantée ! Je ne trouve pas ça drôle ! Au risque de paraître ringarde, d'ailleurs j'ai l'âge pour l'être. Je pense à cet enfant de CP qui m'appelle pour me dire "qu'il a envie de me baiser", à cet autre qui délibérément se précipite sur moi pour "me mettre la main au panier", à celui-là qui me dit que je suis "vieille" -ce en quoi il n'a pas tort d'ailleurs ! Je n'aime pas prendre les enfants pour des imbéciles mais je ne pense pas qu'il faille leur laisser dire n'importe quoi ! Tout comme je ne pense pas qu'on soit obligé de leur offrir n'importe quoi à regarder ou à entendre ! Qu'il le cherchent eux-même est un autre sujet autrement tout remarquable. Bon allez, la température s'élève, on trinque ? OK merci. Pas mal cette petite cachaça ! Au revoir, et au fait merci d'être passé. Bien le bonjour chez vous. Et revenez quand vous voulez !

Tchatche optimiste. Pas mal la terrasse

Rouge ocre terre. C'est sa couleur. Le soleil à travers les feuilles de palmier, la chilienne à rayures (j'aurais bien mis "bayadères" mais vérification faite la bayadère serait une danseuse sacrée de l'Inde) la fontaine à glougloutis, la cachaça en main hum, fait bon Vivre Ici! Finalement, pas mal la réflexion du petit vieux aux yeux malicieux dans l'autobus. Faut dire que la dame se plaignait assez fort de ses 19 jours d'absence. Pas celle du petit vieux, celle du soleil ! Quand il a dit "Vous permettez Madame" -ne dirait-on pas du pur Adamo?" elle s'est raidie et il a poursuivi "Même si on croit ne pas le voir, il se lève tous les matins !" Elle n'a rien trouvé à redire mais elle a bien vu les sourires autour d'elle. Quant à moi allez savoir pourquoi j'ai noté qu'il était la seule tache rouge dans le véhicule ! Vous avez lu rouge ?

18 janvier 2006

si je ne l'écris pas je l'oublie

Ce ne sera pas un drame, on n'en parlera pas pendant six semaines mais tout de même parfois je me demande pourquoi je suis française. Je pense aux X milliers de masque envoyés en Turquie pour la population française justement en place. Du coup je me dis que je préférerai être Turque en France ! Je pense aussi au Père Noël. Que m'a-t-il dit pendant qu'Arthur conduisait le traîneau ? Qu'il craignait d'avoir moins de cadeaux à distribuer l'année prochaine ! Sotte, j'ai posé la question : pourquoi donc ? A cause des oiseaux quand ils vont rentrer de vacances !!!!! Qu'a-t-il voulu dire ? Enfin, laissons couler l'eau sous les ponts après on comprendra !

Juste une impression

En revenant de Redon Plutôt banal comme promenade quoi que, surtout au retour, à la nuit et à l'approche de Rennes. Au Rond Point de la Gaieté exactement -c'est important- les uns tournent à droite, les autres à gauche, d'autres tout droit, bref des voitures partout et un seul humain qui courageux se lance sur un passage piéton : pauvre petit en cas pris entre deux automobiles. Urbain tristement. Un coup d'oeil dans le rétro : ok le rond point porte encore bien son nom. Tchao à bientôt

16 janvier 2006

il s'agit de se lancer

Paré à virer dans la modernité de la communication ! La pirate que je deviens oblige...... se lance or doncques, la terrasse est ouverte sur le monde et l'ambiance est à peine rose toulouzen, fontaines andalouzen et palmiers maroczens. Bref, tout pour discutailler avec cachaça et chouchen à portée de main si vous le voulez bien. Discutailler de quoi ? De tout, de rien, de faits, de mes faits, de les vôtres, de méfaits, de bienfaits (ces derniers pour toi GRAND EFFACHE aimé et tant mieux sur ce coup là, d'ailleurs je te remercie beaucoup) et de refaits (d'heureux par exemple) Donc, il est né le nouveau blog, sur l'air de quoi vous savez et d'ailleurs même les rois mages l'ont admiré. Ils m'ont assuré, de bonne main*, que tout irait bien et même conseillé la chose suivante : faites comme nous, suivez l'Etoile soit en clair "Ayez confiance" et de toute façon pour ce début d'année la chance était là tout purin dans les bras, merci VILSSI et clin d'oeil à elle qui se reconnaîtra) Des questions, des éclaircissements ????? N'hésitez pas, la carafe est à droite, les glaçons juste sur votre gauche et¨pour le léopard à vos pieds, rien à craindre croyez-moi, c'est un vrai petit chat ! A bientôt donc pour, larguer les amarres, déplier les voiles et jeter l'encre..... Loizobleu