28 janvier 2009

On y parle de Toulouse et de Lauzerte !!!!! et de l'Algérie et de ....

Pour vous rendre compte, et vous y rendre, n'y a plus qu'à cliquer sur le titre de ce billet et découvrir le blog "Le Pélerin" : photos et commentaires à plaire à tous et à chacun. Belle découverte et à y croiser La Luciole. Amicalement et Kénavo à tous et chacune. Il pleut à verse ici mais le soleil s'est levé ce matin : ça réconforte. La preuve, tout le monde a le sourire aux lèvres, "castagne chaussures aux doigts" -c'est un nouveau jeu qui se jouait uniquement le jeudi 1er de l'an 2009 place du Capitole. Intenables, ces sudouestintines !

OR-LOISIRS en maison de retraite

"parce que ça me servira plus tard", me dit Lodile avec beaucoup de sérieux "et parce que j'aime offrir quelques instants de rêve auprès de ceux qui auraient pu être ces grands-parents que je n'ai jamais eu"
Pourquoi pas Lodile, Pourquoi pas, chacun est libre de faire ce qu'il veut, et pas si mal.
"Une p'tite tequila ou une p'tite cachaça ?"
"Un p'tit mojito, plutôt," me dit-elle ! Mais pourquoi pas, ma Lodile, pourquoi pas, tiens goûte-moi ça, la menthe est ultra fraîche, et ne parlons pas du citron vert, cueilli et pressé du jour, de la branche à ton verre seulement par mon bras ! superbe. Elle rit. J'aime bien Lodile quand elle rit : ça lui va si bien. Allez, à bientôt Lodile. A bientôt Loizo. Diling dililing ding ding....

27 janvier 2009

blabla...bus collections by Lodile

  • Une grand-mère délicieuse ... qui me parle comme si nous étions voisines depuis des lustres sous le parapluie avec lequel elle éborgne sans y penser tous les passants y compris moi, qui suis juste à la hauteur des baleines. Mais déjà elle m'amuse. "Il est passé ou il est déjà passé ?" me demande-t-elle. Elle me donne le N° = le même que le mien. Je lui confirme que oui Desappointed ! very desappointed, Granny Je la réconforte "Plus que 5 mn" Elle me sourit. Puis on aborde tout : la pluie qui est froide, l'hiver qui pour une fois ressemble à un hiver, rien ne se perd tout se transforme, le détour du samedi, la grève de jeudi, les difficultés de chacun. Toujours le sourire. Elle est délicieuse. Le bus arrive : elle est éclatante. Elle m'attend... Elle est trop gentille. Elle est toute mimi comme on dit, mignonne, frisée, presque encore blonde, un joli chapeau, délicieusement coquette sans plus. On se retrouve côte à côte mais séparée par l'allée. Elle me dit qu'elle va chez... à.... pour.... pas loin de.... Je saurai tout. Elle me rappelle l'une de ses pairs qui me disait : "Voyez-vous cela fait trois jours que je n'ai ni vu ni entendu personne !" en ajoutant "mais je n'ai besoin de personne" Je ne peux m'empêcher de penser "Moi si, j'ai besoin de personne, j'en ai vraiment besoin, sans personne, je pleure, je triste, je m'attriste, je manque de rires, je panne, je tourne en rond, je balbutie, je m'écoeure, je ..... Pas facile d'être seule. On ne peut cependant pas s'accrocher aux gens. Et j'entends ce vieil homme qui disait "on à la vieillesse qu'on mérite !" et sa voisine qui commentait en pensant à ses enfants, ceux de l'homme qui ne venaient jamais le voir "ils ont l'enfance qu'on leur offre !... et d'ajouter : heureusement tous les hommes ne sont pas comme vous, voisin !" Revenons à ma petite dame. Comme ils sont fragiles nos anciens. Elle se fait bousculer par sa jeune voisine qui descend un arrêt avant. Elle croit qu'elle doit descendre aussi. S'affole, se précipite. Je la retiens. Elle me sourit, réconfortée et me quitte un arrêt plus bas, comme si nous avions étées parentes depuis des lustres. M'aidera-t-on dans vingt ans quand je serai un peu perdue. M'aidera-t-on ? Maide alors, maidera-t-on ? De très jeunes femmes "Tu veux des enfants ?" "Tu déconnes, les enfants c'est la fin de la liberté !" (de très jeunes femmes) Autre groupe : de jeunes adultes Etonnement sincère "Tu fais sans préservatif ?" "Ouais c'est bien mieux !" (rires) "Et tu n'as pas peur ?" "Peur de quoi ?" (gros rires) "Du sida !" "Bof, maintenant -haussement d'épaules- ça se soigne !!!!"

15 janvier 2009

Mille et une nuits à Rennes samedi 17 janvier

Que voilà une tête en l'air !
Des Shéharasades partout, voilà pour un sultan aux oreilles comblées.....
Un frère du sultan troublé parla belle Dounyasâde...
Pour multiplier les troubles et les combles une adresse à Rennes samedi 17 janvier
Le MeltiPotes : 17 bvd de Beaumont, sur votre gauche dos à la gare ou au métro
son couscous royal
et Azedine et Lania pour les paroles - Mais il faut se méfier, les têtes peuvent tomber. Rejoignez-les
Un n° de tel : 02.99.38.67.57

Passe passe le temps.... Vlà Lodile qui pense

On n'imagine jamais assez comme le temps passe, passe passe, allons allons donc.....
Déjà trente cinq ans que, comme un roi, ce petit bonhomme s'annonçait. Blond comme les blès sur le gazon vert.
Que fait-il ? Ne croirait-on pas qu'il a déjà du recul.
J'aurais des enfants, je m'excuserai auprès des incertitudes et assurances dont je les aurai couverts et parce que le paradoxe ne m'effraie je leur conseillerai de ne pas conseiller, juste de veiller, soutenir, encourager, essayer, tâtonner sns jamais désigner. Mais comme je l'ai lu dans un conte sur un livre aux pages blanches je réécrirai ici :
"Si je survis je me tairais
et si je meurs,
maudissez en toute langue qui voudra donner des conseils !"
Histoire du roi Yûnan et du Médecin Dûban - Contes des Mille et une Nuits

Tiens voilà revl'à Lodile et la sublime Naje Romeau

Dilin dililililing ding ding hou la la, me dis-je, le gong trahissant l'état d'esprit de Lodile, de quoi va-t-elle mentretenir cette fois ?
Elle a regardé la télévision, étonnant ! C'était un hasard me dit-elle, grâce à son fils qui voulait la regarder aussi. Pour une fois qu'il passait. "Tu sais Loizo il y avait une actrice que j'aime la merveilleuse Naje Romeau" Bon moi Loizo, pour ce qui est de la TV je ne l'ai pas ; mais parfois je vois des équipes de tournage, tout au moins je les entends travailler derrière les murs de la Terrasse mais je ne les connais pas davantage. J'ai répété un brin rêveur Nage Romeau???? Lodile s'est envolée, égrenant toutes les qualités de la dame pour s'arrêter sur la dernière, le respect qu'elle offre aux autres. En l'occurrence, un jeune animateur qu'elle ne voulait pas voir se ridiculiser à la suite de la proposition d'une journaliste de lui faire lire quelques lignes de textes de théâtres, comme cela "à l'impromptu ou à l'improviste !" "Tu sais, Loizo, c'est chapeau pour elle. Certains ne se seraient pas gêner pour le ridiculiser. Mais elle, toute habillée de rouge, avec une broche scintillante à la gauche de son vêtement, c'est une grande dame courageuse. Et ça fait plaisir de voir qu'il y en a encore." J'ai hoché la tête, puis j'ai proposé, thé à la menthe Lodile ? Elle a préféré un chocolat : pourquoi pas ? Après tout, ici aussi il fait froid. Chocolat pour vous aussi. Mais bien volontier avec plaisir et cuit deux fois, of course, pour la mousse. A la prochaine

13 janvier 2009

Voilà revl'à Lodile Lamoureuse

Le gong ne cesse pas de dilingdingdonguer joliment, léger, très léger. En entrant elle l'a juste caressé puis elle m'a dit "Loizo, me voilà amoureuse des mots" J'ai souri en pensant que je la comprenais. Elle poursuivit "Des mots du conte !" J'ai encore souri sachant combien plus souvent ils faisaient du bien plutôt que du mal ceux-là. J'eus droit au "Tu veux les voir ?" Comment peut-on répondrenon à quelqu'un qui vous propose d'écouter ou de lire. J'ai dit Oui. Et me voilà, elle repartie, pages en main. Ils sont écrit par Monsieur Henri Gougaud et je me dis que je n'ai peut-être pas le doit de les déposer ici. Si par hasard quelqu'un voulait que je les retire il n'aura qu'à me le faire savoir : un vent de sable sur la terrasse et hop là, j'effacerai. Pour l'instant je les dépose. Voilà, c'est fait : Voilà l’histoire telle que Henri Gougaud l’a écrite. Autrefois, en Arabie un roi vivait nommé Shams le Paisible. Il possédait un trésor vivant, sa fille au rire bienfaisant comme la source de la vie, aux yeux d’évidente espérance, au nom aimé du vent : Zahra. Shams, au matin de chaque jour, baisait son front en chantonnant (c’était sa prière de l’aube) : « Trois bontés chassent les chagrins : le vin frais, mes roses et Zahra, que Dieu protège des méchants ! » Et tous rendaient les mêmes grâces, autour de lui, en chœurs joyeux. Elle était belle, certes, elle était sage aussi, car auprès des savants que fréquentait son père elle avait cultivé bien des livres féconds et goûté ce savoir qui enivre parfois et parfois fait pleurer d’espoir démesuré. Elle savait distinguer le mot de la parole, le temps de la durée, l’énigme du mystère et les beautés cachées des subtilités vaines. Enfin sans le secours de ceux qui savaient tout, même l’art de se taire, elle avait appris seule à écouter, la nuit le tambour de son cœur, la rumeur de son corps et le chant de son âme. Vinrent ses dix-huit ans. Un jour, comme Zahra, à sa fenêtre ouverte, contemplait la cité aux remparts de safran, lui revint à l’esprit cette parole étrange qu’elle avait entendue d’un mendiant sans regard : « Tu es le sultan de ta vie. Que l’amour seul soit ton palais, ton royaume, tes palmeraies, ton désert et ton océan. » Et comme elle souriait, pensant à ce mystère, son père vint à elle avec ses conseillers. « Ma fille, lui dit-il, voici le temps venu d’épouser un pays et son prince héritier. J’ai choisi ton époux. Il est juste et puissant. Qu’il te donne vingt fils et que Dieu t’aide à vivre ! » Elle répondit : « Hélas mon père, l’homme que j’aime est loin d’ici, si loin que je ne sais pas où. Pourtant il me viendra un jour, mais lui ni moi ne savons quand. Voici passé le temps d’enfance, vous l’avez dit, seigneur aimé. Veuillez donc me laisser aller. Je dois construire la maison où j’attendrai mon bien-aimé sans lequel ma vie n’est que sable. Elle salua le roi, ses conseillers aussi, elle tourna les talons, elle quitta le palais, elle traversa la ville. Elle s’en fut au désert. Une pleine journée elle marcha vent debout. Le crépuscule vint et le vent s’apaisa. Elle contempla les horizons et se vit droite au cœur du monde. Là, au milieu de l’infini, elle bâtit une maison basse. Elle fit les murs, posa le toit, pierres mêlées de branches mortes, elle fit la porte en bois perdu, franchit le seuil et s’enferma. Aussitôt la rumeur envahit la cité. - Savez-vous bonnes gens ? La princesse Zahra est recluse au désert. Elle espère l’amour, elle attend qu’il lui vienne ! - - qui ne connaissait pas Zahra fille de Shams ? Qui ne la savait pas plus belle et désirable que les mille palais du paradis des purs ? Ils accoururent tous, princes, marchands, voleurs, mendiants et philosophes, timides, fanfarons, bancals, brûlés d’amour, chacun poussant son ange et traînant son démon. - - Au premier qui frappa à sa porte fermée : - - Qui vient là ? demanda Zahra - Le cœur serré dans sa chemise l’homme lui répondit - - c’est moi - Alors il entendit Zahra lui murmurer, à l’abri de sa porte close l : - - ensemble dans cette maison toi et moi ne pouvons pas vivre. Dis-moi ton nom homme et va-t-en ! - Il obéit. Et s’éloigna. Et tandis qu’il s’en retournait, la recluse broda son nom sur son manteau de laine bleue. - Le lendemain un autre vint. Lui aussi frappa à la porte. - Qui vient là ? demanda Zahra - Comme son frère de la veille, il lança fièrement : - C’est moi ! - Comme son frère de la veille il entendit ces mêmes mots : - Ensemble dans cette maison toi et moi ne pouvons pas vivre. Dis-moi ton nom homme, et va-t-en ! - Le nom fut dit et fut brodé sur le manteau de laine bleue Ils vinrent cent, ils vinrent mille, ils vinrent dix et vingt années. Chacun à la question posée, répondit à la porte close : C’est moi Hassan, c’est moi Ali, c’est moi tel familier de Shams, tel coureur de sable ou de vent. » Cent et cent noms furent brodés sur le manteau de laine bleue, et les jours et les nuits passèrent et les printemps et les hivers, jusqu’au bout où fit halte au seuil de la maison un errant aux pieds nus. Moktar était son nom. En langue d’Occident son nom était « l’élu » Il n’avait dans les mains que seS lignes de vie. Ses trésors étaient tous dans ses yeux étoilés. Il ne frappa qu’un coup à la porte fermée. - Qui vient là ? dit Zahra - Moktar, droit sur le seuil, resta la bouche close. On entendit le vent caresser le désert. Une deuxième fois : - Qui vient là ? dit Zahra Ce fut comme un souffle de sable. Moktar ne lui répondit pas. Alors Zahra, l’aimée de Dieu, derrière la porte fermée approcha sa bouche tremblante d’une fente dans le bois brut. Elle dit encore : Qui vient là ? Moktar pencha sa haute taille et contre cette même fente dans le vieux bois il répondit - c’est toi,
- La porte lentement s’ouvrit. Moktar entra. Il s’avança. Et que vit-il dans la pénombre ? Une vieille ridée, courbée dans son manteau de laine bleue où tant d’éphémères passants avaient laissé leur trace inscrite. Moktar vit-il ses yeux fanés, ses cheveux neigeux, sa fatigue ? Un fil au bout d’un nom brodé sur l’épaule attrapa son regard. Il le tira, défit le nom, et par la porte ensoleillée il lança le fil à la brise et ce fil à peine dehors se fit oiseau et s’envola. Il en tira un autre encore. Un nom encore s’effaça, un oiseau encore s’en fut, ivre de vent et de lumière. Un long, un court et un cinquième et celui d’un guerrier persan, et celui d’un caravanier, et miracle, avec chaque nom effacé sur le manteau bleu, avec chaque fil envolé, chaque cri d’oiseau délivré, une ride disparaissait sur le visage de Zahra, son teint retrouvait son éclat, et ses yeux leu bonheur vivant. Quand ce fut plus un seul nom brodé, quand le soleil eut disparu derrière la nuée d’oiseaux qui avaient envahi le ciel, Zahra était à nouveau jeune, plus ardente encore et radieuse qu’au plus beau printemps de sa vie. Alors les deux qui ne font qu’un s’en furent droit dans le désert. Nul ici-bas ne les revit. Derrière eux n’étaient aucune empreinte, ni de l’une ni de lui. Collection Texte et Voix 3 350001062573 9 Desclée de Brouwer
Il me vient maintenant en mémoire que j'ai écouté moi aussi ce conte-là du côté de Mauron un soir de juillet. C'est Monsieur Gougaud lui-même qui le contait et j'avais été scotché.

Samedi 17 janvier au Melti-Potes, les Mille et une Nuits de Lania & Azedine

Deux voix,
l'une masculine, celle du conteur Azedine,
l'autre féminine, celle de la conteuse préférée de Lodile Lania
En alternance, ces deux amis de longue date, tous deux amoureux des textes des Mille et Une Nuits, évoqueront la voix douce, agréable et savoureuse de Schâharâzade séduisant son époux chaque soir, pour ne pas perdre la vie.
Y parviendra-t-elle ?
Pour le savoir il faut habiter Rennes et se rendre au Bar-Restaurant le MeltiPotes pour déguster un couscous royal, ça s'impose
Adresse : 17 boulevard de Beaumont
tel : 02.99.85.92.18
Pour s'y rendre : Metro Gare - dos à la gare se diriger sur votre gauche, traverser le passage piéton et remonter le boulevard sur la droite. Ne pas dépasser le restaurant ami "Le Gascon" Bonsoir Claudine
Soirée-couscous royal : dès 20 h 30 : tarif 16 €
Spectacle de contes : dès 21 h 30 : tarif libre.

11 janvier 2009

09 janvier 2009

Toulouse, Toulouse, très touriste

En fait, je ne la connais plus. Elle a beaucoup changé, par exemple ses quais, le dôme de la Dalbade, le fameux pont Saint Pierre.
Le Bazacle est toujours là et des anciens abattoirs on prend conscience de la largeur de la Garonne : c'est un grand fleuve.
Les anciens abattoirs : oui je m'en souviens, encore, un souvenir un peu flou, je n'étais pas très vieille mais le souvenir des camions entre autres, ou bétaillères.
Le musée de l'Affiche : aucun souvenir. Normal, il vient de fêter ses 25 ans, et je n'étais pas là pour cette naissance. Mais je vous le recommande : le lieu est petit mais l'effet est grand. Et nombreux les étudiants en communication ou en design, pourtant c'étaient les vacances !
Ce qui m'émeut : voir le ciel traversé par un avion. Toulouse et l'aéronautique, c'est une réalité, même dans les rues : beaucoup d'étrangers croisés.
Prendre conscience de la tchatche permanente : oui les toulousains n'arrêtent pas de parler. Ils s'étonnent, s'esbaudissent, s'exclament, montrent, échangent, même quand ils ne se connaissent pas, ils échangent avec le sourire. Pas si mal, non ? Ils le font encore passées 22 h sur les terrasses chauffées. Ils sont fous ces toulousains. Fous ou vivants. Pas si mal, non ? Et leur accent. Oh putain con, quel accent. Mais moi à côté je n'ai rien couillon. Tiens, si peu que j'ai remercié un monsieur en le félicitant de son accent. Et lui, pour qui, m'a répondu "J'ai un accent moi ?" Moi-même.... étranglée, morte de rire.

Toulouse, Toulouse, une mère sublime

J'ai attendu longtemps pour les prendre seuls.
Vous pouvez la voir au jardin du donjon du Capitole
Elle est fantastique
et ce qui est plus fantastique encore
c'est la fascination dans laquelle elle plonge tous les enfants et leurs parents et même les sans enfants.
Elle est plus que fantastique, elle est fabuleuse. Sublime.
Les enfants se l'approprient avec une joie évidente. Et c'est un bonheur de les observer, de les voir faire, de les voir sourire.
Elle est envoûtante.
Qui l'a sculptée ? Je ne suis pas allée voir. Désolée mais je le remercie. J'ai le sentiment que ce serait plutôt un homme mais je peux "m'équivoquer", comme aurait dit Mademoiselle Supervie, prof d'espagnol il y a longtemps, au Lycée de Jeunes filles de Saint Sernin (fameuse église romane aussi)

Toulouse, Toulouse

Oui, c'est la place du Capitole, le 1er janvier 2009
On y joue, au lancer de chaussures... on s'y castagne toujours... en éclatant de rire
on la traverse d'un bon pas
on y photographie des fenêtres qui pèlent beaucoup....
on y donne une obole à une magnifique "bohémienne" aux vêtements colorés
bref on y vit
et en la regardant, dix jours après, on souhaite une bonne fête à son Guillaume préféré et on lui colle deux Poutous.
Oh la honte !
Que les Guillaume qui n'auraient pas la chance d'en avoir en prennent, ça les changera

07 janvier 2009

Art-Thérapie... tiens 2009 et déjà voilà rev'là Lodile

et, diling ding ding dili ding, dans sa foulée le gong se remet à distiller ses harmonies vibratoires.
De quoi va-t-elle me parler ?
D'art-thérapie.
Si vous voulez en savoir plus, ia+ka.... cliquer sur le titre si vous désirez y penser aussi ou y pensez déjà. Et, confidence pour confidence, me revient à l'oreille cette étrange prière cubaine pour obtenir un beau bébé. Réécrite par une amie conteuse, elle invite ô merci à toi Obatala, à se méfier de tout aveuglement.
Bonne année 2009 à vous. Qu'elle soit pleine de changes et d'échanges
et tchin tchin
les yeux dans les yeux.
Du champagne ? Ah non, pas de champagne, seulement du thé mais.... à la menthe de ma Terrasse, s'il vous plaît.