En fait, je ne la connais plus. Elle a beaucoup changé, par exemple ses quais, le dôme de la Dalbade, le fameux pont Saint Pierre.
Le Bazacle est toujours là et des anciens abattoirs on prend conscience de la largeur de la Garonne : c'est un grand fleuve.
Les anciens abattoirs : oui je m'en souviens, encore, un souvenir un peu flou, je n'étais pas très vieille mais le souvenir des camions entre autres, ou bétaillères.
Le musée de l'Affiche : aucun souvenir. Normal, il vient de fêter ses 25 ans, et je n'étais pas là pour cette naissance. Mais je vous le recommande : le lieu est petit mais l'effet est grand. Et nombreux les étudiants en communication ou en design, pourtant c'étaient les vacances !
Ce qui m'émeut : voir le ciel traversé par un avion. Toulouse et l'aéronautique, c'est une réalité, même dans les rues : beaucoup d'étrangers croisés.
Prendre conscience de la tchatche permanente : oui les toulousains n'arrêtent pas de parler. Ils s'étonnent, s'esbaudissent, s'exclament, montrent, échangent, même quand ils ne se connaissent pas, ils échangent avec le sourire. Pas si mal, non ? Ils le font encore passées 22 h sur les terrasses chauffées. Ils sont fous ces toulousains. Fous ou vivants. Pas si mal, non ? Et leur accent. Oh putain con, quel accent. Mais moi à côté je n'ai rien couillon. Tiens, si peu que j'ai remercié un monsieur en le félicitant de son accent. Et lui, pour qui, m'a répondu "J'ai un accent moi ?" Moi-même.... étranglée, morte de rire.
1 commentaire:
L'accent, il est rôse à toulouse.
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