16 mai 2010

Dilili dililili ding ding joyeux le gong ? En tout cas vlà revlà Lodile et l'accent ou l'assent ou lassant....


Alors Lodile, bonjour comment vas-tu aujourd'hui ? Elle me répond qu'elle va couçi couça.
Préfères-tu me parler du couçi ou du couça ? Elle me répond : c'est la même chose.
Alors vas-y, dis moi. Elle me parle d'une copine qui a pris le train récemment. Banal. Mais le train a eu du retard. Plus que banal aujourd'hui. Elle dit que la copine n'a pas eu sa correspondance : plus que banal banal, courant, de nos jours. Les pendules ne sont pas sûres depuis qu'elles peuvent se passer d'aiguilles.
Elle dit que sa copine -qui parle avec un accent régional- lui a dit que l'une des voyageuses qui l'accompagnaient avait le même accent qu'elle. Elle lui en avait fait la remarque. Elle ajoute le commentaire de la voyageuse. "Je sais c'est drôle mais c'est comme ça. De toute façon il me plaît à moi cet accent, ce n'est pas comme ma famille !" Ah bon, que voulait-elle dire ? La copine lui a posé la question. Elle a répondu en précisant que lorsqu'elle rejoignait sa famille dans une région littorale, celle-ci lui disait trois fois sur quatre "Change ta façon de parler, avec ton "accent de merde" on ne comprend rien !"
"Sans blague" dit Loizo prenant pour rire l'accent austro-macorain "pas cool"
En effet Loizo, moi j'aime beaucoup les accents, ils s'écoutent et ils transmettent une authenticité, un vocabulaire particulier sur lesquels nous devons tous nous pencher car bien souvent, ils rejoignent les nôtres : accents d'humains of course !
Accents d'humains. Bien sûr !
Au fait, une même sorte d'oiseau a-t-il un sifflement différent selon le pays où il siffle ?

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Il y a si longtemps... ça fait toujours plaisir de débarquer par ici, mais faut-il avoir le temps de tout lire ? Toutes mes amitiés Lania.

Contes&Lania a dit…

Mais non il ne faut pas avoir le temps de tout lire. Terrasse est,
comment dire, quasi-confidentiel. Peu connaisse son existence. J'y divague sourire, et pleurs fleints... comme dirait le cher Clément Marot né près du terroir de mon father, et j'atoute ainsi que lui : que voulez-vous qu'à aimer je me fonde, il faut plutôt que l'amour on refonde et qu'on la mène ainsi qu'on la menait, au bon vieux temps. Merci de passer cher inconnu. (ou chère ?)