14 octobre 2011

Dilili dililili li ding ding

Dililili li li li li "Dure semaine Loizo, heureusement qu'il y a Tintin


mais pas Geopeut, ni même Josiane Balasko dont on nous fait connaître qu'elle vote pour un grand H.

"Mais Loizo, pourquoi aurais-je besoin de savoir ce qu'elle vote hein ? Qui est-elle ? Qui est-elle pour qu'on me fasse connaître son avis ? Hein Loizo. Ne puis-je avoir mon avis perso sans passer par la TV. Lire Loizo, moi je lis !"

Loizo entend bien les paroles de Lodile mais il restera muet aujourd'hui. Même lui est affecté par la collision d'un train et d'un bus. Il ne travaille pas. Le milieu du travail est très touché par cet accident. En deux rencontres, cinq personnes sont justement connues pour être dans la mauvaise liste.

Mais dis donc, au fait Loizo, de toi à moi, tout à fait par hasard, y aurait pas une pleine lune en ce moment ? Lodile a son ordi. Hop là, le voilà ouvert, hop là le mot interro entrée, hop là vient la réponse : mercredi 12 octobre, pleine lune !

Loizo entend bien la réponse de l'ordi mais Loizo restera muet aujourd'hui. D'autant plus qu'il se rappelle qu'il doit intervenir du côté d'une gare. La ligne en question ne fait pas l'objet du sujet mais parfois se rencontrent des voyageurs qui prennent cette direction. Tout un village plongé dans la stupéfaction.

Mais oui Lodile, heureusement qu'il y a TinTin et son éternelle jeunesse et sa survie permanente. Dans l'air du temps le Tintin d'hier et d'aujourd'hui.
"Dis-moi Loizo, t'aurais pas un peu de café aujourd'hui ? J'ai une émotion qui monte soudain ?"

Loizo n'est pas mécontent de lui : en matière de café il a fait fort : il en a justement préparé. Il n'est même pas sous la feuille de Bardane. "Il est là à ta droite ma belle, il hume bon l'Arabica, vas-y sers-toi Lodile, et bonne dégustation" Un guayoyo comme au Vénézuéla. Plaisir.

Sinon, "oui", je trouve intéressant qu'on veuille monter le niveau en français à l'adresse de ceux qui souhaitent rester vivre en France. Tout comme j'ai appris l'espagnol pour vivre deux ans sur le Continent Sud Américain, mais surtout à l'oral. Je réponds parce que ma propre expérience ; parce que fille née hors France d'une mère étrangère [Malgré toutes les qualités qu'elle possédait, la conscience pour elle de n'avoir pu dompter l'écrit l'a empêchée de se positionner professionnellement. Rien à voir avec son niveau d'intelligence et d'éducation dans sa propre langue] Ce n'est pas parce qu'on ne pratique pas la langue qu'on est idiot. Parce que j'ai une amie d'origine étrangère, qui travaille actuellement sur notre territoire et qu'elle se désole de ne pas arriver à dominer notre langue. Malgré des cours de français auprès d'un professeur de français. Depuis quand ? Depuis des années ! Je me permets de penser qu'il ne suffit pas seulement d'enseigner des règles pour faire apprendre une langue.

Et là je pense que je vais me positionner pour devenir vecteur de ce besoin : "Être français dans l'âme" Dur dur, suis-je Française dans l'âme moi-même, suis-je Bretonne dans l'âme, depuis trente ans que je vis sur ce territoire ? Pas si sûr. Dur dur d'être dans l'âme aujourd'hui.

Et pour terminer, "La promesse de la chenille n'engage pas le papillon". Belle journée à bientôt

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