22 mars 2008

il y a longtemps qu'elle n'est pas passée me voir... Sacrée Odile

On dirait qu'elle a senti les bonnes odeurs de mes tajines. Je reçois ce soir en effet, j'ai roulé le ceussceus autant que j'ai pu, glissé le mouton et les épices, et même le palmier se régale : il agite doucement ses palmes, on dirait qu'il va s'évanouir... de plaisir bien évidemment. La nuit s'installe, il y a partout des bougies sur ma terrasse, une par étoile : j'entends les chameaux blatérer entre eux, sûr qu'ils aimeraient s'inviter ! Je peux ? me dit-elle. Mais bien sûr Odile, je t'attendais et tous mes invité(e)s aussi : tu peux leur dire bonjour, facile à retenir leur prénoms : rien que des Léa et des léo pour nous deux aujourd'hui. Oui, oui, ça mitonne, mais non ne soulève pas encore, c'est ça, respire. aïe que huele bien la comida. Un p'tit coup de hamac ? Un p'tit verre de cachaça ? Non mais tu rêves, de menthe fraîche only.

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