04 mai 2011

Paris V - dilili dilililing ding dong regarde Lodile nous sommes parisiennes

Nous avons soif. Nous nous enfonçons par une rue, direction la Seine. Pas de terrasse, seulement des bars où il fait trop noir à l'intérieur. Puis nous entrons dans une rue où chaque vitrine est une galerie. Livres, tableaux, nous frustrons à mort : nous regardons mais n'entrons pas "nous reviendrons" dit-elle. Je pense, comme toujours dans ce cas, à l'affreuse réalité du vendeur à domicile. Je l'ai été quelques années et sais ce que "à revoir égale au revoir" veut dire. C'est vrai une fois de plus. Nous n'y reviendrons pas.
Car nous avons trouvé une terrasse, à l'ombre certes, mais face à la Seine. Le bord de Seine s'offre à nous avec son roulis de cityrama et et taxis et autres véhicules ; ce français mort de rire car il fait semblant de se prendre pour un américain ; mes vraies voisines américaines qui n'arrêtent pas de rendre mes cartes postales qui sous le vent s'obstinent à leur rendre visite ; les volatiles sur passage-pigeons. Photos.



Entre deux lampées rafraîchissante un pigeon sympa, il y en a, nous photographie. Merci.
Un p'tit RRiépé pour la route après, nous poursuivons notre périple.  Et pas de photo, rien que des mots pour vous dire que nous avons heureusement rencontré Henri Barrand et son exposition "Nice to be dead" pour peaufiner cette divagation parisienne. Voir le lien mais dépêchez-vous car l'exposition se termine le 7 mai
Puis nous l'avons quitté, groggy à essuyer un pare-brise pour nous y retrouver.  
Trois pas plus loin nous tournions sur notre gauche. Pour une suite en chapitre Paris VI.. vous le voulez bien.

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