26 janvier 2008

di ling diling ding ding di ling

Vents du passé passés dépassés.... Il aurait dit -peu importe qui- "Vivre est foisonnant. Vivre est complexe. Pour lui, vivre c'est s'imprégner des autres sans rien leur dérober. En un mot vivre c'est aimer !"// Lu dans "Quelqu'un à côté" "Il faut parfois aimer suffisamment pour déclencher la guerre.... J'étais résolue à l'obliger à ressentir l'implication d'une décision concernant l'action d'autrui" // Dans ce livre merveilleux qu'elle aime Alberto Moravia, Le Mépris - et peu importe qui elle est- "Tant qu'on ne sait pas ce qu'on veut, il est préférable d'oublier l'idéal, de le laisser de côté... et puis dès qu'on a pris pied sur un terrain solide, il faut alors le ressortir... le premier billet de mille gagné, le voilà l'idéal... par la suite, il se développe, devient pour nous studio, théâtre, films, notre travail quotidien... en somme". Elle a l'air heureuse. Pourquoi pas Odile, Pourquoi pas. Et celle-ci, de Cocteau, qui s'adressait aux magiciens : "Homme aux mille mains, je forme des voeux pour que votre art se lègue, puisqu'il s'adresse à ce que le monde conserve en lui de meilleur : l'enfance"Mes plumes bleues frissonnent ; touché, dans le mille : merci Odile. Mais di ling ding ding ding, la voilà déjà ailleurs. A la prochaine.

Aucun commentaire: