
Le blog de Loiseau Bleu c'est une terrasse virtuelle sous palmier avec musique, bassin, fontaine ruisselante, végétation marocaine, ocres et bleus assourdissants, et les allées et venues de l'Odile qui cause de tout et de rien
28 mars 2008
Prune à l'eau de vie, tiens rev'là Odile

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Terrasse en Tchatche
22 mars 2008
En route vers Koptos

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il y a longtemps qu'elle n'est pas passée me voir... Sacrée Odile

20 mars 2008
Côte à côte, hasard ou pas hasard
Deux titres sautent aux yeux : Humain : Chantal S. est morte ce matin. Dans la colonne immédiatement parallèle : Baiser d'adieu (Pauline C. son nouveau CD)Commercial et humain. La vie continue. Show must....
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18 mars 2008
Ces phrases, ces mots qui peuvent agresser Odile : début d'une collection...
Les mots ne sont pas que des mots
"Son histoire débute au sein d'une famille fière de son terroir" justification nécessaire ?
D'autres durant une campagne récente " je suis née d'un père algérien, j'ai un mari danois, je suis d'ici" :
En quoi cette présentation justifierait-elle de devenir candidate ?
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Voilà revl'à Odile
08 mars 2008
Journée de la femme 2008
Je la dédie à ma mère, à toutes celles que les hommes ont rejetées au placard pour aller voir de la chair fraîche comme le dit si bien Alain Delon aujourd'hui, ce qui permet de relativiser les beaux discours d'aujourd'hui ; je la dédie à ce chef de chantier qui précise que sur un lieu si masculin les choses changent avec leur présence : campement plus propre, vocabulaire retenu -dommage qu'il n'ai pas précisé que grâce à elles, les méfaits de l'alcool disparaissaient-
je la dédie à cette dame âgée qui dit qu'elle ne peut plus vivre avec 600 €,
à cette femme qui a travaillé toute sa vie mais n'a jamais eu de bulletin de salaire,
à cette jeune femme à qui l'on disait qu'elle chantait comme au XXème siècle. Toutes les femmes du XXe siècle ne sont pas encore mortes : elles peuvent aimer le slam et chanter autrement. En une période où tout incite à respecter l'autre on peut remarquer combien vl'an-tiens-prends-toi-ça-dans-la-gueule est plutôt répandu.
Je la dédie à toutes les conteuses donc, à toutes les femmes qui s'occupent d'enfant, les leurs où ceux des autres peu importe surtout quand ils sont devenus grands. C'est aussi par elles toutes, en relation avec le masculin évolué -il existe- que les choses avancent. Il y a le club de ceux qui défendent la nature : il faut créer le club qui défende la nature humaine homme femme, féminin, masculin confondus : respect de l'égalité dans la différence
02 mars 2008
Je réfléchis dit Odile
Je l'entends. Le gong se la joue "plombé" Elle parle lentement Odile, de ce film qu'elle a vu et qui lui a beaucoup plu. Il raconte l'histoire d'une petite fille qui survécut dans les années 40 grâce aux loups qu'elle fréquenta. Déception. L'histoire n'est pas autobiographique et les invraisemblances y sont nombreuses. Mais où est le problème me dit Odile ? C'est une belle histoire. Je me le demande aussi, moi Loizo. Tant de gens ont besoin de tuteurs pour survivre : inventés ou non, s'ils les aident, si l'astuce fonctionne, la force de l'imagination est remise à l'honneur. Odile précise qu'elle a entendu deux animateurs opposer ce film à celui intitulé "Le scaphandre et le papillon" en soulignant que le deuxième "était bien lui, une belle histoire vraie" Se rendent-ils compte qu'ils minimisent ainsi la blessure de l'auteure de la première histoire ? Elle a souffert. Elle a inventé. Et alors ? Moi Loizo, je me rappelle avoir voleté dans un parc il y a peu d'années. C'était au printemps. Sur un banc une vieille dame se reposait : je suis venu siffloter gaiement et elle m'a félicité. J'ai tout de suite remarqué son accent slave. La question fuse "De quelle origine êtes-vous ?" je suis bienveillant, amical, à l'écoute. La réponse me fige "Je suis française" Comme on dit je reste sur le cul, le p'tit cul d'un oiseau. J'en secoue mes plumes. Elle remarque que je suis éberlué. Elle est loin d'être bête. Elle me dit "Je suis d'origine hongroise" -ça tombe mal ils n'aiment pas les russes ! mais je n'en rajoute pas- "Tu ne t'es pas trompé Loizo mais je n'aime pas qu'on me le dise. J'ai toujours voulu oublier !" Je l'ai embrassée du bec, me suis excusé puis envolé dans un rai de soleil. C'est alors que je me suis souvenue d'une petite histoire italienne : Un représentant de commerce -c'était au temps où existaient les représentants de commerce- avait pour habitude de s'arrêter dans un hôtel. Un soir, dès son arrivée dans le hall il remarque une volière avec deux perruches à l'intérieur. Le temps que l'on s'occupe de lui, il s'approche et les imite. A son grand étonnement les oiseaux lui répondent. Alors il converse avec eux et il s'amuse bien. Puis il se couche. Passe la nuit, passe le jour, un représentant de commerce ça se déplace. Il ne revient pas la nuit suivante. Mais lors de son prochain déplacement il retourne dans le même hôtel. Sitôt le seuil franchit il remarque la volière vide. Inutile. Il demande à l'hôtelier "Vous les avez vendus ?" "Non, ils sont morts. D'ailleurs à la réflexion, maintenant jem'en souviens, vous êtes le dernier à leur avoir parlé" C'est comme si un couperet tombait sur la tête du représentant de commerce. C'est peut-être lui le responsble. Peut-être leur a-t-il dit quelque chose qui leur a déplu ? Les aurait-il fait souffrir sans le savoir ? Il se sent si penaud qu'il décide de ne plus raconter n'importe quoi à n'importe qui. Sagesse Odile ? Elle est émue aux larmes. Brave Odile. Allez ma belle, un verre d'orangeade ou de réglisse ? Va pour la réglisse. Vous aussi ? Avé plaisir, comme ils disent là-bas, ailleurs. Bonne nuit ou bonjour. En tout cas, à bientôt sur ma terrasse. Mais bien sûr, Odile, un p'tit gâteau à la pistache. Sourire.
PS : "L'imagination et ma mémoire sont les deux seuls moyens pour m'évader ou me défendre" in "Le scaphandre et le Papillon"
Bonne nuit
sur ces deux dernières informations ô combien nécessaires Un homme est mort samedi sur le coup, en tombant d'une télécabine à Chamonix, en Haute-Savoie. La vitre a cédé pour une raison encore inconnue.
Dans les Hautes-Alpes, un parachutiste de nationalité russe et un guide sont morts samedi.
Dommage pour eux mais trop c'est trop : exceptionnellement à 03.14 h je me suis étranglée de rire : d'ailleurs c'est du paradis où je viens de les rencontrer que je vous écris.
Après quatre téléphones portables en fonctionnement dans le bus autour de moa même ;
après un essai d'achat de deux poissons rouges super marrants car nerveux, mais avorté car le vendeur pourtant sans clientèle n'avait visiblement pas envie de vendre ;
après quelques auprès d'une enfant qui fait la "gueule" tout le temps car elle n'a pas tout ce qu'elle veut immédiatement,
je me dis que rien ne vaut un bon conte de Road Doadlh (je ne suis pas sûre d'avoir bien écrit son nom : qu'il me pardonne. Au fait je vais lui demander tout de suite : Road, tu me pardonnes ? Oh bé mince alors, il lit un conte à St Pierre : je vais l'écouter. Au revoir, à bientôt, kenavo, paca, dasvidania
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Et le conte ?
01 mars 2008
Connaissez-vous el noor ed dunia.... poursuivez

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