13 avril 2006

et le chili où en est-il celui-là ?

Coup de vent d'autan la recette s'était envolée -de ma petite mémoire d'oizo- Coup de sirocco la voilà qui s'en retourne et je vous la confie selon ma fantaisie. Où en étais-je, ah oui j'écrivais qu'il ne fallait pas les oublier les tomates car de Jouno ou d'ailleurs, un chili sans tomate, ce n'est pas un chili ! Mais il ne faut pas plus, ni surtout pas, oublier les haricots, car c'en serait la fin. Et avant tout les choisir rouges car si un chili sans haricot n'est pas un chili, un chili sans haricots rouge n'est plus du tout un chili. Faut ce qui faut. Et pour finir je dirai ... Bon app.... Pardonnez-moi, soudain j'ai un doute, n'aurais-je point oublié quelque ingrédient ? Je récapitole, comme on dit parfois dans cette ville rose où je ne vis plus. Tomates, poivrons, oignons, haricots rouges, chorizo fort, maïs en grains doux et vian.... J'ai trouvé, j'oubliais la viande. Quelle erreur fondamentale. Un chili sans viande ! Impensable ! Même pour un végétarien ! Alors j'insiste, de la viande et bonne, peuchère, comme ils disent en Provence ou peu chère, comme en aurait parlé l'avare, celui de Molière qui revient juvénilement à la mode dans Le Cercle Paule Berre -ce texte témoigne d'une autre actualité que celle de ce jour- Bref, il en faut plus que peu de la chaire sinon en reprendre ne se pourrait et serait vraiment dommage... Enfin façons d'écrire, avant tout de tout ceci énuméré, il en faut jusqu'au tout petit piment oizo (ça s'imposait ici pour signer) Et voilà, vous savez tout, bon appétit à m'en reparler !

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