Diling diling ding donc ! Odile n'est pas loin. Adossé à mon hamac j'observe le ciel, ses chemins, ses fontaines, ses voies et ses vaisseaux. Je somnole aux trois quart, lorsque la musique m'interpelle. Odile est si peu loin que déjà toute proche. Je détourne mon regard. Cette fois, elle pouffe de rire bien sûr. Je lui tends visiblement l'oreille puisque oups elle démarre au quart de tour : "Faut que j'te conte !" Alors moi de vous raconter, au prochain billet à propos "d'une brave cinquantaine". A bientôt, elle désire un thé cannelle !
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