Cet article, qui débute par la photo d'une roue de fauteuil pour handicapé quelques billets précédents celui-ci. Moi, Loizobleu, on me dit si souvent que l'on ne me comprend pas, que sur ce sujet je vais être sans concession. Il avait été suggéré, dans ce lieu, d'inventer un moment conté en envisageant les handicaps et plus particulièrement celui de la vision. Odile a bien remarqué le jour de l'intervention - à l'exception d'elle-même qui devient handicapée dès ses lunettes égarées- l'absence de toute personne soumise à cette particularité. Elle a remarqué, de la même manière, cette même absence sur une autre intervention artistique. Odile n'est pas "ségosphère", n'est même pas "maman", mais ressent de l'empathie pour tout être humain qui se met en retrait. Elle a donc ressenti cette empathie pour ce jeune homme présent à sa dernière intervention dans le lieu bibliothèque. Elle se souvient même, avoir suggéré, dans un autre lieu d'intervention, le déplacement de son public, comment dire, "difficile". Elle souhaite, elle espère que cela se fera sous peu. Il ne s'agit pas d'en parler : il s'agit d'acter. Odile espère revoir ce jeune adulte dans le lieu, destiné à la parole. Moi, Loizobleu, pauvre porte-paroles, j'acte ici pour sa parole sincère. Et sur ce, je cours sur ma terrasse : rejoignez-m'y : ce matin dès la première paupière soulevée j'ai aperçu une méhari qui ouvrait une gueule de sacré bonheur à se laisser caresser par ce bienvenu soleil du jour. Il inonde la terrasse à donner envie de se noyer dans vodka ou pastis ou thé, oui, thé. Quand à la méhari, trop marrant, je lui ouvert la terrasse aussi : elle se promène, entre cactées et fontaines.
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