19 septembre 2007

BA diling ding ding

"Coucou Loizo j'ai fait ma BA aujourd'hui" dit la volubile Odile caressant les volubilis bleus et blancs. "Raconte Odile, je t'écoute" réponds-je. Et elle démarre aussitôt "Voilà, Je causais avec une amie qui distribue de la pub (entre deux envolées de métromens and métrogirls) quand j'ai entendu un méga bruit. J'ai pensé, en bonne toulousaine, "putain le chôc" et j'ai relevé la tête pour, un rien tout de même un peu concierge ou philosophe, regarder les voiture. Point du tout. Simplement une masse informe qui gigotait en plein milieu d'un rond-point. Me suis précipitée pour relever tant bien que mal une dame contrariée d'être tombée. Du sang partout comme il en pleuvait -j'exagère à peine ce n'était qu'une écorchure au niveau de la tempe- et l'ombre d'un jeune étudiant venu nous donner un coup de main. Elle nous a assuré que ça pourrait aller : j'ai demandé où elle habitait. Je l'y ai accompagné pieschcom, comme aurait dit ma mère ie à pied. Commentaire, tout le long du chemin : "oh la la la je vais me faire engueuler par mon mari !" Bien sûr j'essayais de minimiser et en même temps je pensais "pas de quoi me réconcilier avec les maris !" Moi, Loizo, j'ai laissé Odile à ses philosophies. Les temps ne changent-ils pas ?

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