"Vous avez gagné 950 années de plus -ou 36 000 journées si vous préférez" nous dit l'un des organisateurs de la soirée. Nous ne participons pas à un Loto mais à une soirée festive pour la nouvelle année, appelée dans ce cas précis : Yennayer.
Et tous de nous regarder plutôt satisfaits par le côté miraculeux des choses : pas une seule ride de plus !
The lifting.
De quoi enchanter Thieuma mon voisin, Oj, celui de Latchan, Niala qui n'était pas tortue, Mainecar ma voisine, Lyvsie, Lega, Simna, et tous les autres. D'ailleurs -plutôt mon dada à moi- de tous les âges. De celui que l'on tient dans les bras jusqu'à celui qui s'aide, non pas d'un mais de deux bâtons. Et danse dans une proximité bienveillante. Ou, assis, dit une poésie -style byline ou épopée- en langue berbère, prouvant bien que la mémoire ne s'altère pas quand on la pratique. Ce moment majeur ne fut pas le seul. L'instant chant choral, -en langue d'origine parce que les parents sont soucieux de transmission- par la génération "née dans le pays d'exil" fut un joyeux moment autant qu'émouvant.
Il y en eut d'autres. Suivez-moi je SAUTE dans le billet qui suit !
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