17 mars 2006

Prudence, prudence

PROVERBIAL : Ensoleillement de mars... Hiver refera surface ! Quel dommage nous avons tant besoin de parler, échanger, discuter, plus simplement sourire. Vrai, pensez-vous, arrêtez-vous la terrasse est ouverte, et vous tend son côté japonais : sur le sol du gravier, droites tendues quelques statues bleu touareg peu vraiment peu une seule et de çi de là des cactus des géants et des minuscules plus petites que cailloux et puis aujourd'hui tout spécialement côté bougainvillées quelqu'une toute de blanc vêtue qui parle. Elle raconte cet instant où elle attendait à la jonction du jour et de la nuit et la vision de ce quatre quatre demitourant comme sur le circuit du Mans, la portière nerveusement jetée à l'ouverture à s'y briser les deux marches sautées et la question débouler tout en anglais la route pour l'angleterre please ? Intérêt papier crayon dessin explications étonnement incompréhension et le mot Cherbourg N'était-ce pas sa route ? La femme en blanc s'est avancée a salué fait un signe de la tête pour montrer son véhicule, blanc tout blanc Le large sourire sur le visage de l'anglais réconforté à la nuit tombée par cette présence presque étincelante well well well et ainsi traversèrent-ils toute la ville de part en part car elle n'aime pas la rocade Mieux, il aurait pu l'y perdre. Quand elle est passée devant le cimetière elle a ralenti et souri dans le rétroviseur puis elle a mis le clignotant et le conducteur du quatre quatre l'a déclenché à son tour Son sourire s'est allongé, étiré jusqu'à l'inquiétant puis elle a accéléré, comme à regret et poursuivi Well well well entendait-elle ! Il n'y était pour rien ! A la sortie de la route, juste avant d'entrer sur la deux fois deux voies elle s'est arrêtée et elle est descendue. L'anglais a fait tout comme elle et tout heureux l'a saisie par l'épaule thanks thanks répétait-il wonderful wonderful et il l'a embrassé fairy tale fairy tale quelques deux heures plus tard le bateau était à quai le quatre quatre à l'attente et le chauffeur étonné : la même femme tout habillée de blanc se tenait à l'entrée de l'embarquement ! ça me plaît bien cette ambiance, je vais aller lui dire que son histoire me rappelle quelque chosemais où est-elle, il n'y a plus que le bougainvillée la musique d'un carillon léger. et un papier, non, une carte routière ! Comment cela peut-il se faire. J'ouvre, j'étale. L'île de Terrassentchat est stabilotée ! Je rêve la carte n'est plus. Olà, c'est la chaleur ? Je crois que je vais me boire à la régalade à un thé à la menthe. C'est cela, j'y cours.

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