Comme dirait le cher ZYKARZO, rends-toi digne, travaille. Je travaille. Lueur d'espoir j'y découvre un cadeau ce matin même : un texte dit à Mauron, par Gougaud il y a des luuuuuuuustres, comme tenu d'un ami qui lui en a fait cadeau. Un texte qui m'a bouleversée. Un texte pour lequel, pages blanches aidant, je m'apprêtais à écrire à Monsieur Gougaud. Et il vient à moi, grâce à cette demande d'intervention. Ce matin même. J'en reste sans voix. D'ailleurs j'ai tant appris en ce seul week end de Noël que je me dis que je vais confier l'intervention à un ami. Et je l'appelle. Et il a la bonté d'accepter. Et je danse dans le salon. Tant pis, je perds de l'argent -mais c'est une hatibutde- je gagne davantage. Du savoir à remettre en forme pour plus tard. Et je danse de joie dans ma salle à manger avec le jeune Da Silva. Et le téléphone sonne. Et l'ambiance change. (à suivre dansle billet qui vient)
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