28 août 2008

L'Odile me parle souvent d'elle. Il paraît qu'elle est là

Pour la voir il n'y a qu'à cliquer sur le titre, et chercher la et dans, "rubrique : lecture, poésie, écriture" Quant à moi Loizobleu aujourd'hui je décide de vous offrir d'une plume, une pensée de la par de Kahlil Gibran. "Si l'on m'ôtait les yeux, j'écouterais les chants d'amour et les mélodies de beauté et de joie. Si l'on m'empêchait d'entendre je trouverais la joie dans la caresse de la brise faite du parfum de la beauté et des doux souffles des amants. Et si l'air m'était refusé, je vivrai avec mon esprit, car l'âme est la fille de l'amour et de la beauté." Et tout cela me rappelle la découverte faite par un pêcheur au détour d'un brouillard. Une voix de toute beauté. Qu'il se prend à écouter. A découvrir. A l'évanouissement du brouillard. Comme un rideau levé. Fascination. Pour les histoires qu'elle enchaîne d'un mot, d'un vire-langue, d'une ritournelle, d'un refrain, d'un rire, d'un subtil silence. Elle parle sans cesser. A s'étonner. A s'interroger. Et si elle s'arrêtait de parler ? Et si pire, on l'arrêtait de parler.. ??? Que ferait l'... ??? Vous pouvez lire cette histoire dans sa version authentique, celle de Jean-Claude CARRIERE, in le Cercle des menteurs - PLON, page 430. Je tiens à cet ouvrage car il m'a été conseillé un jour sur le marché de Betton, un été où j'y contais régulièrement, par une jeune adulte amoureuse du conte.

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