03 avril 2007

Odile présidente, et pourquoi pas !

Diling diling ding ding bong Y a d'Odile dans l'air ainsi que du printemps qui s'affirme. Ouf. Mon hamac blanc se balançait doucement. A ce moment, il virevolte. Ya de l'Odile dans l'air je vous le redis. Parfois je suis un peu devant, pardon devin. Survoltée qu'elle est. Loizo, Loizo ! C'est elle qui les pousse, ce n'est pas moi qui les crie -bien, Loizo, tu fais subtil ce matin : je me félicite moi-même, puisque personne ne le fait. Je me présidence un peu en quelque sorte- Justement c'est le sujet. Loizo écoute un peu. Odile, plantée là, devant moi, gesticule contrôlée. Je m'explique. Ou plutôt je traduis. Elle a vu une émission qui traitait des compétences que devait avoir un candidat à l'élection présidentielle : il doit posséder du charisme, savoir sourire, savoir serrer des mains

ouvrir ses bras, être un peu parano. J'ai bien compris. Et je la regarde m'illustrer tous ses compétences et s'en trouver soudain tant qu'elle disparaît en criant : je les aurai mes cinq cents signatures, je les aurai. Diling diling ding ding bong. je "lavaliserai" si c'était souhaité. Mais les jeux sont faits. Ne dirait-on pas ? Surtout que côté paranoïa c'est plus qu'un brin qu'elle a l'Odile mais ça.... faites en sorte que ça ne se sache pas. Gardez-le pour vous. Une petite soif ? Là, à votre droite, sur le plateau doré. Vous en faites une tête. Et oui, ce n'est que du thé mais du meilleur, à la menthe s'il vous plaît. Un doigt ? Grand seigneur je vous le verse, té ! Toulouzenement vôtre à "cause" de la beauté du ciel bleu et de l'ocre brique des murs. A bientôt ! Signé Loizo

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